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 (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie !

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Wade Hawkins

Wade Hawkins
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MessageSujet: (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie !   (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie ! EmptyDim 17 Fév - 16:04



Wade + Jo'
Les mains nonchalamment enfouies dans les poches, et le regard droit devant lui, Wade rentrait de mission. Il avait à nouveau risqué sa vie une dizaine de fois, s'était retrouvé face à face avec des canons de pistolet, Berretas, Colts ou Walters. Il avait du faire preuve d'intelligence, de tact, de ruse, de force physique, et tout cela dans un même temps, sans cesser de respecter les ordres de M. à la lettre. Bref, la routine pour un espion qui, comme lui, avait acquis son titre de 00 depuis déjà plus de cinq ans. Il était parvenu à bout de sa mission non sans efforts, et n'avait récolté pour le démantèlement de ce réseau de drogue international qu'un bronzage malvenu en pleine hiver à Londres, et qu'un genou sauvagement blessé par une barre de fer tenue entre les mains sales d'un trafiquant particulièrement audacieux. Aussi marchait-il avec lenteur, ménageant son corps blessé.

Il croisa quelques visages familiers aux abords de l'entrée du QG réservé au Mi6. Wade ne leur accorda qu'une brève attention ponctué d'un demi-sourire. Il avait tout un rapport à faire sur la mission qu'il venait d'exécuter auprès de plus grandes instances. M. la première. Même si cette simple idée le désolait, cela faisait partie de ses obligations d'espions 00, celles-là même dont il aimerait tant se débarrasser en passant du côté obscur. Désormais, il avait bien compris ce que signifiait bosser pour le Mi6. Offrir sa vie entière et supporter mille douleurs pour nager à jamais dans l'antre impitoyable de l'obscurité. C'était ça, être espion. Rien de plus.

M. se trouvait toujours dans son bureau, comme d'habitude, assise sur son fauteuil à signer quelques paperasses indignes du moindre intérêt pour un homme d'action tel que Wade. A sa vue, pourtant, elle rangea les papiers qui trainaient et lui accorda enfin toute l'attention qu'il méritait, ne serait-ce que pour être revenu en vie d'une mission si périlleuse. « Vous venez pour le compte rendu, agent 002 ? » « Pourquoi d'autre ? » Son ton était sec, mais M. s'était sans aucun doute déjà habitué au manque de professionnalisme et au je-m'en-foutisme de son espion. Elle le surveillait de près depuis déjà plusieurs années, sans jamais rien trouver d'assez compromettant pour le démettre de ses fonctions. Il avait de bons résultats, et les chiffres parlaient pour lui, mais au moindre faux pas, elle n'hésiterait pas à le remplacer. Il était bien trop impulsif et trop instable pour être un homme digne de confiance. Dommage, c'était pourtant une bonne recrue.. D'un haussement de sourcil, elle l'invita à poursuivre. « Mission réussie avec succès. Le réseau est démantelé, les trafiquants sont morts, pour la plupart, ou hors d'état de nuire dans vos prisons. Quant au cerveau, vous vous en êtes chargés. » M. lui offrit un sourire satisfait, avant de poursuivre, soudainement plus amicale : « Et votre blessure ? » « Douleur supportable. » lâcha Wade comme toute réponse, alors qu'il quittait déjà les bureaux de cette harpie qu'il exécrait autant que les ordres qu'elle lui donnait sans arrêt.

A peine eut-il fait quelques pas en dehors de son bureau qu'il tomba sur un nouveau visage connu. Josué hantait parfois les bureaux du Mi6 à la recherche d'informations croustillantes à offrir au gouvernement. Quels réseaux avaient été mis hors d'états de nuire par les agents mille fois plus compétent de l'organisation, quels grands criminels recherchés avaient été tués ou envoyés en prison. Josué était toujours là pour faire son rapport. Pourtant, il était nouveau, mais déjà sa tête se frayait un chemin parmi les membres du Mi6. Tous le connaissaient, au moins de vue. Et Wade tout particulièrement, alors qu'il avait souvent affaire à lui, et qu'il n'avait mis que peu de temps avant de se rendre compte de la haine secrète mais non enfouie qu'il vouait à son égard. Josué semblait le haïr, comme en témoignait la flamme impitoyable dans son regard. Une haine que Wade, en bon espion, n'avait pas mis longtemps à dénicher. Forcément, échecs cuisants aux tests d'entrée, Josué ne pouvait que lui vouer une jalousie sans borne, à lui, cet homme qui avait réussi partout où lui même avait échoué. « Tiens Josué. J'ai un message pour le gouvernement. Le réseau du Cobra a enfin été mis hors d'état de nuire, ainsi que tous ses trafiquants. Le chef de l'opération réside pour l'instant dans nos prisons. Et toi alors, qu'as-tu fais ces dernières semaines ? Quelque chose d'aussi palpitant, je n'en doute pas. » Avec lui, Wade faisait preuve d'un cynisme sans faille. Son tutoiement était tout aussi méprisant que l'embryon de sourire satisfait qui transformait son visage. Avec Josué, il avait l'habitude..
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Josué Wilde

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MessageSujet: Re: (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie !   (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie ! EmptyDim 17 Fév - 22:54

Wade & Josué.
« Je t'aime. » Voilà le petit message que laisse Josué avant de quitter l'appartement de son compagnon. Il l'a écrit sur une feuille qu'il a laissé sur la table de la cuisine après avoir bu son café. Toujours, lorsqu'il part plus tôt, il laisse un message, pour montrer qu'il pense à lui et qu'il va le faire durant toute sa journée. Pour une fois que c'est Josué qui part plus tôt au travail, il faut aussi le noter. Il a été appelé par son ancien patron au gouvernement au sujet d'une affaire avec des russes en ce moment, il avait des papiers à rendre là dessus, tout à été fait dans l'ordre, mais manifestement, il manque des choses, ou alors d'autres ne sont pas au clair avec son patron, c'est pourquoi tôt dans la matinée, il a été contacté pour se rendre dans les locaux du gouvernement pour en discuter, rien de plus amusant voyez-vous. Il adorait son travail, façon de parler... Maintenant qu'il est agent de liaison, il se tape tous les dossiers qui ont un lien pour ou moins proche avec le gouvernement et Dieu seul sait que le MI6 aime fourrer son nez dans les affaires du gouvernement, ou alors c'est l'inverse. Quoi qu'il en soit, Josué assit dans le taxi se plaint déjà de ce qui va être sa journée. Il ne s'attend pas à la suite qui risque d'être pire que tout, mais il s'y prépare sans le savoir. Donc pendant trois heures exactement, il va rester dans un bureau avec son ancien patron à discuter d'un dossier qu'il connaît sur le bout des doigts, pour des détails insignifiants. Bien sur qu'il savait qu'il allait se taper des dossiers, mais pas autant que là, il crache sur les affaires de terrain, on dirait que tout le monde aime sa façon d'écrire alors les contre-rendus, c'est pour lui. Il a toujours quelque chose à faire et ça commence à l'agacer, heureusement qu'en rentrant ce soir, il trouvera son compagnon avec son immense sourire pour le remettre d'aplomb pour une nouvelle mauvaise journée. D'autant plus que si il croise un agent 00, sa journée ne fera qu'empirer. Ces agents là ne doivent pas savoir à quel point il s'est loupé aux tests, mais manifestement, même si les tests sont bien gardés, des informations se sont baladées, pourvu que rien ne viennent aux oreilles de son mâle, qu'il ne soit pas déçu, déjà de ne pas avoir été au courant et ensuite d'avoir un compagnon incapable. C'est ce qu'il est non après cet échec ? Enfin, après sa petite réunion, il retourne dans les locaux du MI6 ou une nouvelle fois, il va retrouver un dossier sur son bureau en plus des pieds de son collègue qui a décidé de lui mener la vie dure. Josué n'est guère apprécié dans les locaux, il est un peu la bête fouineuse, les gens ne veulent pas lui parler de peur que tout finisse au gouvernement alors que Josué n'en a rien à faire, il exécute les ordres, point barre. Son sac sous le bras, il fait son entrée dans les bureaux essayant de ne pas se faire remarquer, avec un peu de chance, il ne cassera rien sur son passage et personne ne lui tombera dessus. Mais comme à son habitude, il se fourre le doigt dans l’œil, il bouscule deux jeunes femmes parce qu'il n'a pas regardé ou il allait et Wade Hawkins vient de se mettre en travers de son chemin. Well, fuck.

Cet homme, il le déteste, déjà parce que c'est un agent 00, et aussi parce qu'il est au courant de ses échecs, ça se voit et ça s'entend, on dirait qu'à chaque fois que les deux hommes discutent, ils vont se jeter l'un sur l'autre, enfin, plus Josué sur lui qu'autre chose. Wade prend un malin plaisir à l'enfoncer et à se moquer de lui, c'est pourquoi l'éviter lui est une mission que Josué s'est donné, mais manifestement, il est incapable de la mener à bien parce qu'il vient de se faire interpeller par cet homme. L'agent de liaison roule des yeux et s'arrête de marcher, fixant le blond en face de lui. Il y a aussi son physique qui l'énerve, toutes ses femmes qui fondent lorsqu'il décroche un sourire, pour elles, ce sont leurs mâchoires qui se décrochent. Cet homme méprise ce qu'il fait, il a un dédain envers son poste que Josué déteste, lui donnerait tout pour avoir cette place qu'il convoite tant, celle de l'agent 00, il pourrait être exceptionnel dans ce rôle. Il pourrait... « C'est bon, vous avez terminé ? » Dit-il presque en crachant ses mots. « Monsieur parfait rentre de mission alors il se permet un peu tout ce qu'il désire ?... » Josué devrait certainement se calmer, parce que techniquement, Wade est son supérieur d'un côté, mais il ne peut pas s'en empêcher, d'autant plus que cet homme n'hésite pas à se moquer et il sait pertinemment que Josué est le premier à se jeter les deux pieds dans le plat lorsqu'on le cherche. « Je me demandais au moins si vous connaissiez le nom du premier ministre actuel... » Demande-t-il d'un air songeur, lui continue de le vouvoyer, ce n'est pas une marque de respect, c'est plus pour de la moquerie qu'autre chose.

Josué adore jouer avec le feu, tout du moins c'est ce qu'on pourrait croire lorsqu'on le voit répondre de cette façon, il sort de ses gonds, il déteste cet homme et ci celui-ci ne se gêne pas pour se payer sa tête, il ne va pas se gêner non plus, même si son comportement n'est pas le meilleur à avoir. « Mais oui, je ferais passer ce message au gouvernement, ça rendra certainement ma semaine encore plus palpitante en racontant vos déboires... Pardon, vos exploits sur le terrain. Dois-je aussi donner vos amitiés à notre cher premier ministre ? » Non, il ne risque pas de se calmer comme ça. Josué serre un peu plus son sac sous son bras et tente de garder un air détaché dans ses paroles pour ne pas se laisser atteindre et il attend sagement ses réponses qui risquent d'être aussi corsées que les questions, ça risque d'annoncer une conversation animée, non ?
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Wade Hawkins

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MessageSujet: Re: (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie !   (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie ! EmptyLun 18 Fév - 12:47



Wade + Jo'
Certes, Wade avait légèrement tendance à voir Josué comme un lâche, un vaurien et, accessoirement, un loseur. Pourtant, il devait admettre que leurs échanges verbaux lui donnaient du fil à retordre et l'obligeaient à réfléchir. L'agent du gouvernement ne s'était jamais laissé marcher dessus sans rien dire, malgré la base de supériorité hiérarchique qu'ils piétinaient en agissant de la sorte, tels deux gamins se disputant un jouet. Une attitude déraisonnable mais qui, en soi, forçait quelque peu le respect.

Wade ne haïssait pas cet homme qu'il ne connaissait, en réalité, pas véritablement. Il n'avait rien contre lui, sinon ce désir de mériter la haine qu'il pouvait lire dans le regard de Josué, puisque celle-ci semblait irrévocable. Au début, l'espion n'avait rien fait pour s'attirer de tels foudres, et même s'il avait compris ce fond de jalousie qu'était devenu leur relation, il s'en était amusé sans se soucier le moins du monde de la peine qu'il pouvait ainsi attiser. Très loin d'être doué en empathie, Wade faisait simplement ce qu'il voulait sans jamais se questionner outre mesure sur les sentiments des autres. Il avait vu que Josué lui répondait avec un certain panache, et il s'était amusé de son sens de la répartie. Tant qu'il trouvait le moyen de mettre un peu de piment dans son existence, alors c'était tout ce qui lui importait : au diable les sentiments de l'agent du gouvernement !

« C'est bon, vous avez terminé ? » Une fois de plus, Wade était parvenu à merveille à énerver ce rôdeur au Mi6 en une seule pique bien sentie. Avec lui, il était inutile de se perdre en insultes ou en gestes violents, une seule phrase pouvait le faire sortir de ses gonds. Loin de connaître la douceur du calme et de l'apaisement, Josué semblait un homme plus prompt à la bagarre, à l'agacement, voire même aux actes impulsifs. Voilà un des défauts qu'il ne fallait décemment pas pour faire un bon espion. Toujours, il fallait garder ses esprits clairs pour se sortir de mauvaises situations ou pour ne pas mettre en péril la vie d'autrui. Si Josué n'avait déjà pas compris ce principe de base, alors il avait eu raison d'échouer si lamentablement aux tests d'entrée. Wade ne répondit que d'un sourire, laissant à cet homme son tour de parole comme il avait eu le droit au sien. « Monsieur parfait rentre de mission alors il se permet un peu tout ce qu'il désire ?... » Monsieur parfait, il n'aurait pu si bien dire ! Mais une fois de plus, Josué semblait se méprendre sur la fonction d'espion et sur ce qu'elle offrait comme sublimes désagréments. Loin d'eux les paillettes et la reconnaissance, ils sacrifiaient leur vie personnelle, leur existence, et supportaient mille douleurs pour la sécurité nationale, mais n'en tiraient pas le moindre bénéfice. Aussi, si Wade pouvait au moins se permettre de rouler des mécaniques au Mi6, seul endroit où il était quelque peu respecté, alors il le faisait. Quitte à passer pour plus arrogant qu'il ne l'était encore. « Oui, c'est un peu ça. Il faut savoir le mériter pour faire ce qu'on veut. Et toi, comment as-tu mérité le droit de me répondre comme ça ? » Une fois de plus, Wade se jouait de lui, s'appuyant sur l'aspect hiérarchique, alors qu'il était le premier à s'en moquer ouvertement. Lui qui ne supportait pas les ordres, que ce soit de les donner ou de les recevoir, lui qui haïssait plus que tout avoir une tête au dessus ou au dessus de lui, à satisfaire ou à protéger envers et contre tout, lui, malgré toute la haine et toute la rancœur du monde, il ne pourrait décemment jamais se plaindre à M. d'un quelconque manque de respect de la part d'un ' inférieur ' même pas réellement admis au Mi6. Josué n'avait aucune crainte à se faire de ce côté là. C'était déjà ça...

« Je me demandais au moins si vous connaissiez le nom du premier ministre actuel... » A l'entente de cette pique à peine dissimulée, Wade ne put s'empêcher d'éclater de rire, plongeant dans le regard de Josué pour y discerner une quelconque trace de honte. Même pas. Il semblait fière de lui, ce qui acheva de faire rire le blondinet aux éclats. « Dois-je te rappeler qu'il y a des tests de culture G. aussi, lors du concours d'entrée ? Oh non, tu le sais, tu l'as échoué misérablement comme les autres. » A cet instant, il regretta presque instantanément ses paroles amères. Il faisait preuve d'une méchanceté qu'il ne se connaissait pas, dénuée de la moindre sympathie pourtant la plus élémentaire qui fut. Mettons son agacement sur le compte de sa blessure et de la douleur qui transperçait son genou, je ne saurais lui trouver d'autres excuses valables. « Mais oui, je ferais passer ce message au gouvernement, ça rendra certainement ma semaine encore plus palpitante en racontant vos déboires... Pardon, vos exploits sur le terrain. Dois-je aussi donner vos amitiés à notre cher premier ministre ? » Là, il avait touché un point sensible et avait vu juste. Alors que Wade ne parlait que d'exploits, il n'avait pas été le plus parfait des espions sur cette mission, comme en témoignait son genou blessé et cette victime qu'il aurait préféré éviter. Néanmoins, il avait appris au fil des années que la perfection, dans ce boulot, dépendait de trop d'éléments divers et variés pour qu'elle soit ne serait-ce qu'envisageable. Il pouvait faire son job d'une manière honorable, mais jamais parfaitement. « Fais donc, je suis sur qu'il en sera très honoré. D'ailleurs, a-t-il enfin retenu ton nom ? »
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Josué Wilde

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MessageSujet: Re: (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie !   (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie ! EmptyLun 18 Fév - 16:21

Wade & Josué.
Malheureusement pour Josué, ce n'est pas qu'un simple jeu. Ce sont des paroles, parfois des actes, mais ce n'est pas juste ça pour lui, il va beaucoup plus loin dans l'interprétation. Il régit, il lutte, il ne se tait pas, il s'est trop tu en étant plus jeune. Il ne peut plus recommencer, désormais, il ne réfléchit plus lorsqu'on le cherche. C'est un défaut, un défaut parmi tous les autres qu'il possède. Mais c'est Josué, il est comme ça, il ne sait pas se calmer, il prend les choses parfois trop à cœur. Il atteint les extrémités dans les deux sens. Soit il est trop froid, soit il est trop impliqué. Il y a certaines choses dans sa vie pour lesquelles il ne faut rien dire, pas toucher, même pas regarder... Josué est possessif, il est hargneux, mais jamais devant Arthemus, il ne faut pas qu'il s'inquiète, il ne faut pas qu'il souffre, il est bien trop beau pour ça... Parfois, on peut se demander si il réellement le même devant son amant ou devant les autres. C'est un peu se qui l'inquiète parce que désormais ils sont dans les mêmes bâtiments, ils peuvent se croiser à tout moment. Josué ne peut pas être avec Arthemus comme il est avec les autres, froid et distant. Ça lui ferait trop mal, notamment si il voit de l'incompréhension dans son regard, ou de l'inquiétude, ou pire que tout... De la peur. Josué se contient avec son compagnon, il ne laisse rien paraître. Mais on ne peut pas pour autant dire qu'il n'est pas lui-même face à celui-ci, il adopte juste un comportement plus adapté. Un comportement qui scié plus à sa personnalité cachée, sa personnalité qu'il a souvent du garder pour lui étant plus jeune. Il ne pouvait guère broncher et il ne le faisait même jamais, il obéissait aux ordres, il se pliait aux exigences, mais désormais, il a l'impression qu'il n'est plus capable de ça. Rien que maintenant, à le voir devant son supérieur hiérarchique à ne pas baisser d'un ton, à le toiser du regard, à entamer une joute verbale à ne rien laisser tomber, quitte à se ridiculiser et à perdre le dernier mot. Josué est différent, Josué est faible. Bien qu'il soit plutôt doué avec la parole, avec la moquerie, les sous-entendus, il ne fait jamais le poids, parce qu'il finit toujours pas s'enfoncer tout seul, en dernière minute souvent, sans s'en rendre compte et c'est ce que lui disait souvent son père, toujours excellent a départ, mais toujours un raté à la fin. Au moins, il le sait, mais il n'y change rien, c'est lui, un point c'est tout, il ne changera pas comme ça à trente-cinq ans.

Lentement, il avale sa salive sans le quitter du regard, il le laisse répondre à son tour et remarquer que lui non plus ne veut pas se rabaisser, il ne veut pas perdre et il ne va pas perdre. Wade doit le savoir, monsieur parfait sait tout, enfin non. Un un coup d’œil, Josué remarque sa blessure à la jambe, il en sourit, amusé de le voir souffrir. Il n'est pas sadique à ce point, il sait pertinemment que la blessure n'est pas grave, sinon, il ne serait pas là à perdre son temps, alors, il a le droit d'en sourire, il ne va pas se gêner. « Vous permettez ? » demande-t-il avec un sourire arrogant. « Je ne mérite rien, je me l'octroie, je n'ai pas besoin de mériter quoi que ce soit avec vous... » Sa voix est rappeuse, cassante comme il l'aime. Josué avait oublié à quel point c'était agréable de jouter avec quelqu'un, dans ses anciens bureaux, les respect était de mise, on ne pouvait même pas attaquer les plus bas que soit, parce qu'ils ne répondaient pas, ceux qui le faisaient étaient virés du programme. L'agent de liaison se taisait lorsqu'on s'en prenait à lui, baissant la tête, obéissant, heureusement, maintenant qu'il est affilié au MI6, il pet désormais faire ce qu'il désire là-haut, cependant, il n'a pas encore eu le courage de se venger de ses anciens chefs, d'autant plus que ça ne serait pas/plus lui de faire une chose pareille. Pas maintenant. Pas après. Josué a cru durant quelques secondes qu'il allait avoir l’ascendant dans la conversation. Quelques secondes... Tout disparaît. Il n'y a plus que les paroles de Wade qui résonnent dans sa tête, des paroles qui font mal, des paroles qui enfoncent le couteau dans la plaie, plaie déjà béante. Josué ouvre la bouche sans savoir quoi dire. Même les tests de culture générale, il les a loupé, même ça... Un sourire reprend la place sur son visage, il le déforme.

« Vous êtes bas Hawkins... Je ne vous pensais pas comme ça... Enfin, ce que j'en pense, vous n'en avez rien à faire, vous êtes un agent 00, vous ne pensez qu'à baiser des filles et à sauver le monde... Le sexe et la reconnaissance, peut-être un peu d'argent, voilà ce qui fait briller vos yeux. Vous n'en avez rien à faire des autres... » Josué continue de sourire, il ne peut pas s'en empêcher. Il crache ses paroles avec une haine parfaitement calculée, sans le quitter des yeux. Il lui fait affront, il ne va pas se taire de si tôt et si Wade veut le frapper, c'est le moment. « Oh et je passerai le bonjour au premier ministre. » Ajoute-t-il avant de passer à côté de Wade, de frôler sa blessure avec sa jambe, il n'est pas si horrible que ça pour le frapper là ou il a mal. Il se contente de le bousculer avec un coup d'épaule, tout ça pour se poser à son bureau, quelques mètres plus loin. Si Wade veut discuter, mettre les choses au point, c'est le moment qu'il vienne. Enfin, Josué est persuadé qu'il va revenir, qu'il ne va pas se taire là, ils commencent si bien, il ne va pas perdre, tout le monde sait que les gentils gagnent tout le temps.
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Wade Hawkins

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MessageSujet: Re: (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie !   (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie ! EmptyMar 19 Fév - 11:46



Wade + Jo'
Wade n'avait aucun mérite à avoir réussi ses tests. Pupille de l'état après la mort de ses parents, autrefois gouverneurs à la chambre des Lords, il avait été élevé et entrainé dans l'unique but de devenir une arme de destruction massive aux ordres du Mi6. Jamais il n'avait connu d'autres perspectives d'emploi, et s'il voulait conserver un toit au dessus de sa tête, et de la nourriture dans son assiette, il n'avait qu'à pas se poser de question et exécuter les ordres, purement et simplement. Il était devenu un jouet servile, un esclave bien obéissant, une création made by le Mi6 pour leur usage personnel. Il avait réussi ses tests car on ne lui avait jamais rien enseigné d'autre. Aussi, la notion de mérite était extrêmement relative : il était simplement né dans une famille haut placée, puis s'était simplement retrouvé orphelin. Après quoi, le destin s'était occupé de lui en le plaçant tout jeune entre les mains de quelques représentants toujours haut placés qui avaient eu son père en amitié et qui se voyaient mal laisser crever son fils seul et pauvre. Bref, la vie l'avait entrainé aux portes du Mi6 sans qu'il ne demande rien, qu'il n'exprime le moindre choix. Peut-être aurait-il voulu être astronaute, ou prof de littérature, voire même danseur étoile.. Il n'en savait rien : il n'avait jamais eu à se poser la question. Aussi, Wade n'était pas à même de juger la difficulté de ses tests qui lui avaient paru aussi simples que de dire bonjour à un inconnu dans les couloirs. Il ne connaissait pas les chiffres représentatifs des lourds échecs subis lors de ses concours, et il s'en moquait ouvertement. Pourtant, il n'était en ce sens pas le meilleur pour faire la morale à Jo.

Surtout que là, Wade était allé trop loin. Il s'en était aperçu à peine avait-il fini sa phrase, mais par un surplus d'une fierté déjà surdimensionné, il n'avait su se faire pardonner de suite cette traîtrise. Pire encore, il avait enfoncé le clou plus profondément, demandant si le premier ministre avait enfin retenu son nom. Effectivement, il n'était pas du genre altruiste à connaître ses employés et à les apprécier pour leur juste valeur, mais plutôt pour leurs services rendus et tant qu'ils ne posaient pas le moindre trouble dans le gouvernement. Il avait de trop hautes responsabilités pour se perdre en vaines conversations avec ses sous-fifres. Wade le savait bien, nul besoin de le connaître pour se douter de ce qu'était sa vie, et, par conséquent, le travail de Josué. Néanmoins, ce dernier s'en sortait assez bien. Il ne travaillait certes pas pour le Mi6, mais il avait déjà l'honneur de les fréquenter, et d'arpenter les couloirs secrets de leur quartier général : peu d'hommes pouvaient se le permettre, en ayant échoué les tests d'entrée. Mais incapable de se satisfaire de cette maigre chance, le jeune homme en voulait toujours plus. Une flamme ambitieuse brillait dans son regard, une flamme que Wade savait respecter à sa juste valeur. Là, au moins, Josué passait un peu moins pour un loser. Un peu, mais déjà une grande victoire.

La déception de Josué éclata en une multitude de reproches. Toutes ses amères convictions qu'il avait probablement toujours gardé en tête sans oser leur faire passer la barrière de sa bouche. Il suffisait que Wade l'énerve un petit peu pour le voir perdre toute complaisance. Pourtant, cette fois-ci, pour la première fois depuis des mois sans le moindre doute (voire même peut-être un an ?) l'espion sentit un élan de culpabilité le saisir à la gorge, troublant son aise et abattant son amour-propre. Oui, il n'avait pas su stopper leur querelle enfantine lorsqu'il était encore temps, et il s'en voulait curieusement. Une culpabilité amère que Josué ne s'évita pas d'augmenter encore, avant de s'enfuir la tête haute, en profitant pour jouer sadiquement avec la blessure de Wade, qui retint une grimace de douleur. Au moins, l'agent du gouvernement pouvait se dire observateur, c'était déjà une bonne chose pour devenir espion, à l'avenir. Enfin, s'il l'espérait encore. Après tout, peut-être que le temps et la déception avaient achevé de recouvrir ce joli rêve d'une bâche noirâtre d'où il ne pourrait plus jamais s'enfuir. Ou peut-être qu'il rêvait encore naïvement à son matricule de 00, se réveillant au matin déçu de ne plus être qu'un loser servile du gouvernement.

Wade se retourna trop tard pour attraper son bras, et le suivit alors sans véritablement réfléchir jusqu'à son bureau. Il ouvrit à peine la porte, mais s'arrêta là, sur le pas de celle-ci, incapable de piétiner encore une fois la solitude de Josué. Sa culpabilité régnait désormais en maître sur son esprit, ayant réduit son amour-propre à l'état de simple fond sonore. « T'as raison, je suis allé trop loin. Je sais au moins reconnaître mes erreurs, c'est bien nan ? » Malgré la culpabilité, il était inutile et naïf d'espérer entre de véritables excuses de sa bouche. Il était certes affaibli momentanément par sa propre méchanceté, il n'en devenait pas moins gentillet. Il ne fallait pas trop lui en demander, reconnaître son erreur étant déjà une situation extraordinaire pour lui. « J'ai quand même une question. Si tu exècres tant les espions, pourquoi veux-tu en faire partie ? » Oui, Josué avait brossé un pathétique portrait rendu lamentable de Wade, dans lequel il avait finalement englobé tous les agents du Mi6. Peut-être était-ce là une manière de faire passer sa déception en grognant sur ceux qui avaient saisi la chance que lui avait vu partir en courant sans être capable de la rattraper.. Wade mourrait d'envie de réagir à toutes les insultes qu'il venait d'essuyer, mais sa culpabilité encore trop fraîche, il souhaitait laisser le temps à Josué de s'exprimer. Une manière comme une autre de se faire pardonner.
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Josué Wilde

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MessageSujet: Re: (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie !   (+ Jo') Je vous hais mortels ! Je vous conchie ! EmptyLun 25 Fév - 12:21

Wade & Josué.
Le manque de répondant de son interlocuteur l'inquiète un minimum, est-ce que Josué a été trop loin dans ses paroles ? Si c'est le cas, il est certainement dans la mouise parce qu'il est capable d'aller beaucoup plus loin. Sa colère est salvatrice, elle grandit en lui et parfois, il a du mal à contrôler celle-ci et c'est ce qui est en train de se passer avec Wade. Jamais auparavant, il n'aurait été s'amuser à blesser un collègue ou même un inconnu sans au préalable avoir reçu des ordres, là c'est totalement différent. C'est de la méchanceté gratuite, c'est pire que tout, c'est douloureux, plus qu'à la normale certainement. Si Josué était vraiment lui-même, il ne se reconnaîtrait pas, il aurait peut-être même peur de lui-même. Le fait d'avoir touché Wade à sa jambe et de lui avoir craché ses quelques paroles le soulage. Quelque chose en lui se calme doucement et gagne de la puissance. C'est aussi ça qui lui a causé des problèmes lors des tests. Josué savait que parfois ses réponses n'étaient pas satisfaisantes, il est certainement tombé sur des questions compliquées et il s'énervait, il s'agaçait et il perdait des moyens pour la suite. C'est ce qui a sans doute causé sa perte. Il se déteste, il déteste cette partie de lui qui lui fait autant de mal, mais en ce moment même, il sourit de faire du mal à autrui. D'autant plus que c'est Wade et il l'a toujours détesté, cet homme, monsieur Parfait a toujours réussir ce qu'il entreprend, a toujours avoir ce qu'il veut et a ne pas aimer son poste. Josué tuerait pour être à sa place et c'est pourquoi sa haine est aussi grande envers lui. Ca aurait pu être un autre agent, mais il est tombé sur lui en premier et puis, les bruits de couloirs vont bon train, Josué retient tout ce qu'il entend, il pourrait très certainement balancer tout ce qu'il entend à ses chefs, mais ce n'est sans doute pas ce qu'ils attendent de lui, pour le moment, se contenter de faire son travail le plus simplement possible est la meilleure chose à faire. Entré dans son bureau, Josué sans de l'air lui parvenir au visage, manifestement, Wade l'a suivit, mais pas jusque là ou il le croyait. Il se retourne et pose ses fesses sur son bureau, l'agent est au niveau de la porte qui est restée ouverte. Manifestement, lui contrairement à Josué s'est calmé après ses quelques paroles, il semblerait même qu'il y ait de la culpabilité sur son visage. L'agent de liaison du gouvernement fronce les sourcils et se demande pour la première fois si il n'a pas été trop loin. Il a réagit directement sans réfléchir à sa dernière attaque et manifestement, ça l'a chamboulé. Un rictus prend place sur son visage, quelque chose de moqueur.

Il croise ses bras sur son torse et le laisse prendre la parole. Pour la première fois de sa vie, Josué se sent fort face à un de ces supérieurs, il a prit l’ascendant, il se sent réellement bien, mais ce soir, ça ne sera sans doute plus la même chose. Toujours relayé au second plan, il prend littéralement son pied à le voir dans cet état. « Il faut bien un début à tout... » Dit-il simplement en haussant les épaules pour commencer, il attend d'avoir un peu plus sur quoi rebondir, ou pas... « Il se passe quoi là, vous avez votre conscience qui vous envoie des signaux pour vous dire que vous avez trop loin ? Je crois que c'est un peu trop tard, le mal est fait... » Une nouvelle fois, il cracher ses dernières paroles, Josué cherche le bâton pour se faire battre, mais il ne peut pas s'en empêcher. Il est en pleine lutte interne si le fait d'envenimer cette joute verbale et de la calmer. Quoi qu'il en soit, il sait qu'au fond, il est protégé, si Wade le frappe, il aura affaire au gouvernement. Enfin, normalement, c'est ce qu'il va se produire, même si Josué était l'agent invisible lorsqu'il travaillait là-haut, certaines personnes lui doivent des services. Il essaye de se persuader que les choses vont aller dans son sens par la suite pour éviter de prendre peur et de s'excuser, de rabaisser à son rôle qu'il connaît si bien. Pour une fois qu'il peut sortir des lignes, il ne s'en gêne pas. Josué est quelque de réellement instable, surtout en ce moment, Wade doit le voir et c'est aussi une des raisons de son échec aux examens. Une raison de plus... « Je ne déteste pas tous les agents croyez-moi, il n'y a que vous que j'ai dans le collimateur depuis le début, parce que je ne connais que vous aussi... On entend très souvent parler de vos déboires... » Il s'arrête là, par acquis de conscience ? Non, simplement parce qu'il essaye de se rappeler de ce qu'on lui a dit sur lui dans les couloirs, enfin, ce qu'il a entendu plutôt et puis, c'est sa réputation, elle ne peut pas être infondée.

Ce que Josué en sait pas, ou ce qu'il essaye de ne pas penser, c'est que Wade doit avoir un sacré passé, généralement, les agent 00 ont toujours eu une histoire assez grave dans leur vie, et même, ils sont souvent orphelins ou alors, n'ont guère jamais eu de nouvelles de leur famille et puis, ils n'ont pas de compagne/compagnon. Ce n'est pas le cas de Josué, certes, il n'a pas eu la vie de ses rêves, mais lui, il a quelqu'un dans sa vie, quelqu'un pour qui il ferait n'importe quoi, y comprit mourir si il le fallait. Certes, il a menti aux examens, mais peut-être qu'ils ont réussit à le démasquer. Il est vrai que pour la question de la patrie avant tout, il a prit quelques secondes avant de répondre, le prénom d'Arthemus lui est venu en pleine face, mais il a refusé de le dire, pour préférer sa patrie à lui, alors que c'est n mensonge. Josué refuse de sacrifier l'homme de sa vie pour son poste d'agent 00 et plus il y pense, plus il se dit que les deux ensembles sont parfaitement incompatibles, à son plus grand damne. « Et en quoi ça vous regarde ? » Demande-t-il subitement. « Ça vous a toujours amusé jusqu'à présent que je m'attaque à vous et que vous preniez le dessus, non ? » Sa voix est remplie de haine, il ne peut pas s'en empêcher.

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