(m) BRADLEY JAMES + i'm sorry brother, i'm sorry i let you down.

isaac arthur rockwood.

+ METIER dealer. AGE vingt-sept ans. NATIONALITÉ britannique. AVATAR bradley james. GROUPE the fire and the rain, si vous voulez en faire un immense dealer ; the targets, sinon.

+ W E A R E T W I N S violent + brusque + cynique + charmeur + vite agacé + perfectionniste + bagarreur + accorde sa confiance un peu vite + dévoué + loyal + rancunier + retors + arrogant + peut vite s'avérer méchant sans le vouloir + bavard + un peu trop confiant + irréfléchi + téméraire + impulsif + solaire + pédant + joueur + avare + impatient + sang-chaud + suceptible.

+ B E A U T I F U L L I F E il a toujours vécu avec sa mère, violet rockwood, et en compagnie de divers beaux-pères dans la banlieue de londres. + à l'école, il était un peu le pitre, le gamin au fond de la classe qui foutait pas grand chose mais qui réussissait à garder la tête hors de l'eau + quand il fut affaire de diplômes, du coup, il foira tout. et il abandonne même l'idée de persévérer dans ses études. ses parents le jetèrent hors de chez lui et il fit face au monde, tout seul, se dépatouillant grâce au deal de drogues et aux jeux de hasard et de cartes dans lesquels il a une chance honteuse. + il n'a jamais voyagé et, d'ailleurs, n'aime pas du tout cela. il n'aime pas les changements d'environnements. + il peut avoir un travail à mi-temps, celui que vous préférez. + le reste est tout à fait libre, donc. nyaaah

+ AVATAR bradley james n'est pas négociable. pourquoi ? PARCE QUE BBC IS DA BITCH. -meurt- et parce que j'aime beaucoup arthur pendragon et que j'aime bradley james d'amour (notre mariage est pour bientôt. :youpi:

) et puis voilà voilà. après, si sa moue adorable, ses yeux de biches et sa mâchoire parfaite vous sort par les yeux, n'hésitez pas à proposer hein, je suis très open de ce côté là. :eheh:

(mais quand même) (BRADLEY JAMES QUOI. :respect:

) MOT EN PLUS il est beau il est joli, prenez-le, pls pls pls plsplspdkqspofjvsx. yeuxmignons

quant au lien que vous trouverez en-dessous, alors en fait isaac aime pas trop perceval mais celui-ci a toujours été plein d'admiration pour lui, genre vraiment. :woot:

(ça peut amener à des situations hilarantes et j'aime les situations hilarantes.) (isaac is SO SWEET DEEP UNDER PLEASE LOOK AT HIM LOOK AT HIS FACE) (plus, le pseudo est entièrement négociable) (sans le nom de famille, évidemment) (C'EST UNE BONNE AFFAIRE SANS DECONNER) (si vous avez des questions ou quoi, ma boîte mp est ouverte comme les cuisses d'une prostituée ! -sbaf-) bril

(srsly, PRENEZ ISAAC.

)

license to kill.

(+) i'm sorry, brother, i'm sorry, i let you down, well, these days you're fine... no these days you tend to lie ∆ « Isaac, voilà ton nouveau frère. » Bon. Ce n'est certainement pas la meilleure manière au monde pour présenter à un gamin comme Isaac un gamin comme Perceval. Ils ont deux ans d'écart seulement, sont de la même région du monde, du même sang ; et pourtant, un monde les sépare. L'un a des lunettes rafistolées derrière des petits yeux brouillés ; l'autre un regard dur et vindicatif. L'un a des traits brouillon, un pâle sourire ; et l'autre, des traits nets, une moue dubitative. Tout sépare Isaac et Perceval, strictement tout. Et quand le blond voit arriver le châtain chez lui, dans sa maison, il n'aime pas ça. Ok, il a perdu sa mère. Cool pour lui. Mais est-ce seulement une raison pour venir vivre avec eux. Il demande à sa mère quand Percy a filé dans sa nouvelle chambre, elle lui répond simplement qu'il n'a plus personne. Donc c'est ça, ne plus avoir personne ? Avoir des lunettes rafistolées, des traits brouillons et un nouveau frère ? C'est nul.

On ne pouvait pas dire que Isaac aimait trop Perceval. Pas du tout même. Déjà, il savait toujours tout. Certains en auraient profité pour lui faire faire ses devoirs ; d'autres pour le brimer à cause de cela. Mais non. Isaac rongeait juste son frein en silence. Perceval lui sortait par les yeux. Toujours à le reprendre, à annoter ses propres phrases en levant l'index en l'air, à lui faire des reproches sur sa grammaire. Il ne l'aimait pas trop. Pas du tout même. Mais c'était son frère. Il n'avait pas le droit de le dire.

Un jour le terme avait dépassé la pensée, la main avait surpassé le self-control. Personne n'aimait Perceval non plus à l'école. Ils étaient encore tout jeunes, huit et dix ans. Ils étaient dans la même classe mais Isaac savait que, l'année prochaine, ce ne serait pas le cas : Percy serait déjà envoyé quelques années en plus dans ses études, brillant comme il l'était. Aux yeux du blonds, Percy ne brillait pas du tout mais bon. En tout cas, un jour, il avait rejoint ses camarades, à l'appeler l'intello, freak et tous ces méchants mots. A faire mine de le brutaliser dans la cour de l'école. Et à le terroriser, le soir, pour qu'il ne raconte rien à sa mère – même s'il l'avait fait, de toutes manières, celle-ci n'aurait pas levé le petit doigt pour Perceval. Il n'en pouvait plus de lui, ce petit con. Il devait partir.

Il ne le vit presque plus. Il savait qu'il avait réussi à grand succès ses études, qu'il avait déménagé le jour-même de sa majorité, qu'il travaillait dans un endroit complexe, du moins, suffisamment pour ses neurones. Il savait tout ça comme on sait le parcours d'un cousin. Percy était, aux yeux de Isaac, tout sauf un frère. C'était juste un parent éloigné, avec qui il avait dû vivre pendant presque dix ans, certes, mais éloigné tout de même. Il n'avait jamais cru le revoir. Et pourtant. Lorsque son ancien propriétaire l'avait jeté de chez lui, il avait consulté son téléphone. Sa mère ? Inutile, elle était aussi fauchée que lui et, de toutes manières, sa situation avait cessé de lui importer depuis qu'il avait eu vingt-et-un ans. Son meilleur ami ? Un con et puis il lui devait plein d'argent. Comme la plupart des gens dans son répertoire. Restait le numéro de Perceval, qu'il avait récupéré un peu par hasard la dernière fois qu'ils s'étaient vus, oubliant de l'effacer par la suite. Il appela. L'autre con accepta. Ils vivaient ensemble, dès cet instant. L'un mourant de jalousie et de mépris pour l'autre ; et le second, toujours aussi admiratif et gentil, d'une manière agaçante. Isaac et Perceval. Quel con pensa le blond en raccrochant, mettant son sac sur son épaule pour se rendre à l'adresse que Percy lui avait donné. Et ils devaient vivre ensemble en plus, maintenant... génial.