Carmen Espinosa « tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? » (+) parlote : 15 | Sujet: (f) DIANNA AGRON Jeu 7 Mar - 22:29 | |
| Crystal Lysander | + METIER Journaliste. AGE 24 ou 25 ans. NATIONALITÉ Anglaise. AVATAR Dianna Agron. GROUPE The targets. + W E A R E T W I N S Généreuse, ouverte, attentionnée, à l'écoute, chaleureuse, douce, consciencieuse, déterminée, calme, élégante, souriante, bosseuse, engagée, utopiste. Je vois vraiment Crystal comme une fille voulant constamment aider ceux dans le besoin. Elle rêve d'un monde heureux pour tous et essaye d'y parvenir. Malgré son aspect doucereux et innocent, elle a une volonté de fer et ne se laisse pas marcher sur les pieds. On pourrait la croire naïve mais ce serait à tort.
+ B E A U T I F U L L I F E -Crystal est née en Angleterre, dans une famille aristocrate un brin austère. Elle a eu une éducation stricte et minutieuse. (je la vois bien avec une soeur qui serait partie à la dérive mais c'est tout à fait optionnel) Elle aurait pu devenir la parfaite gosse de riche mais elle a toujours eu ce besoin de faire le bonheur des autres ce qui lui a valu de nombreuses désillusions. Mais elle a appris de celles-ci et persiste à croire encore aujourd'hui qu'aider son prochain est primordial. Si elle avait une devise ce serait à coup sûr que l'espérance n'est jamais vaine. -Elle a fait journaliste/reporter malgré le peu d'engouement de ses parents qui auraient préféré la voir dans un métier du style médecin ou avocate. Elle a toujours traité sur des sujets sensibles. -Elle a énormément voyagé et parle un nombre de langues impressionnant mais depuis l'incident en Espagne qui l'a clairement secouée, elle n'a plus quitté Londres. Elle a d'ailleurs longtemps joué à celle pour qui tout allait bien. Au départ dans le déni, elle a fait comme si ces évènements ne l'avaient pas marquée. -Carmen est la seule femme avec qui elle eu une relation. Vu son éducation elle n'avait jamais cru un jour éprouver des sentiments pour quelqu'un du même sexe qu'elle. -En plus d'avoir été profondément choquée par ce surplus de violence, elle a donc aussi été très troublée par ce nouveau désir. |
+ AVATAR Non négociable. J'ai toujours imaginé Dianna quand j'ai écrit ma fiche et je la trouve vraiment parfaite dans ce rôle. Néanmoins si le scénario vous inspire vraiment et que vous ne supportez pas cette actrice on peut essayer de trouver un terrain d'entente même si j'avoue que ce ne sera pas aisé. MOT EN PLUS Tout d'abord merci de vous intéresser au scénario qui me tient à coeur puisque c'est le premier que je crée ! Le prénom est non négociable puisque c'est celui que j'ai utilisé dans ma fiche et que je le trouve très approprié. (vous pouvez néanmoins lui inventer un deuxième prénom) En revanche le nom de famille est totalement négociable, j'ai mis Lysander simplement parce que je le trouvais joli. J'ai mis tous les points auxquels je tenais particulièrement, le reste est complètement libre alors faites-vous plaisir. Et si vous avez la moindre question, le moindre doute, n'hésitez surtout pas à venir me voir. Privilégiez d'ailleurs ma boîte MP, plutôt que de poster à la suite, je préfère discuter en privé. Sur ce, j'espère vous voir apparaître très bientôt !
license to kill. Version courte :
Les deux jeunes femmes se sont rencontrées en Espagne. Crystal avait un reportage à faire là-bas sur la prostitution où quelque chose du genre (au choix). Mais elle fouillait trop et Carmen a été envoyé pour tout simplement la tuer. Sauf que la brune n'a pas réussi à le faire et a quand même fait croire à son patron qu'elle était morte puisque Crystal ne voulait pas partir sans terminer ce pour quoi elle était venue. Carmen venait souvent la voir pour s'assurer que tout allait bien et un étrange lien s'est tissé entre elles. Crystal essayait d'en savoir plus sur elle mais Carmen ne disait pas un mot. Finalement ils ont découvert qu'elle était encore en vie et Carmen s'est lourdement faite tabasser pour cela. Lorsqu'elle est allée la prévenir, Crystal s'est rendue compte de la vraie violence e ce milieu et dans un élan de désespoir ou quoi que ce soit et elle a embrassé Carmen. Elles ont couché ensemble comme si elles savaient que de toute façon c'était la fin. Sauf que quand un homme est venu pour les tuer c'est finalement Carmen qui a pris le dessus et qui lui tiré dessus sous les yeux de Crystal. Elles ont fuit ensemble en Angleterre et malgré l'instance de Crystal pour que Carmen reste avec elle, l'espagnole a disparu sans un mot. Cela fait environ un an et elles ne se sont toujours pas revues.
Version longue, extrait de ma fiche :- Spoiler:
Carmen était face à la porte de sa prochaine entrevue, dans un immeuble délabré qu'elle n'avait eu aucun mal à trouver. Elle rentrerait, un coup de feu se ferait entendre et puis elle s'en irait, la routine. Sa prochaine cible était journaliste, du genre à fouiner dans les sombres aspects de l'Espagne pour écrire quelques mots sur un bout de papier dont tout le monde se ficherait éperdument. Mais si des noms et des images sortaient de là, cela devenait inacceptable. Elle devait donc supprimer l'indésirable. La messagère frappa trois coups et on ne tarda pas à lui ouvrir. Elle ne regarda même pas qui lui ouvra, elle entra et claqua la porte derrière elle puis sans crier gare attrapa la gorge de l'emmerdeur qu'elle plaqua contre un mur. « Vous savez pourquoi je suis là. » C'est ce qu'elle aurait du dire pourtant aucun mot ne franchit la barrière de ses lèvres lorsqu'elle découvrit qu'elle étranglait à moitié une femme. Une femme dont le cou était si fin qu'elle aurait pu le briser d'une pression. Carmen ne put masquer sa surprise. Si elle n'avait aucun remords à frapper des hommes qui de toute façon la répugnaient de nature, c'était tout simplement hors de question avec les femmes. Et non ce n'était pas une question de principe, c'était juste que cela faisait remonter en elle le désagréable souvenir de sa mère. Elle ne voulait pas encaisser le rôle de son père et son patron lui avait juré que les seules femmes auxquelles elle aurait affaire ne se baseraient que sur de simples intimidations. Mais pour celle-ci il avait bien précisé qu'elle ne pouvait pas repartir. Après tout ce temps, elle pouvait bien faire un effort non ? Reprenant de sa contenance elle resserra son étreinte et sortit son arme avant de pointer le bout de celle-ci sur le front de sa victime. Elle venait tout juste de remarquer que celle-ci ne tremblait pas. Carmen la fixa alors de son regard intransigeant. Elle semblait avoir à peu près son âge mais ses cheveux blonds et son teint pâle prouvaient qu'elle ne venait clairement pas de là. Elle soutenait son regard, chose qui habituellement l'horripilait et la faisait passer à l’action. Mais elle était différente, elle ne la défiait pas non, elle semblait presque accepter sa sentence, prête à mourir car là étaient les risques de son métier. C'était absolument ridicule, elle semblait si candide, si innocente et elle ne se débattait pas, ne criait pas, ne disait pas même un mot. Pire encore, dans ses yeux Carmen pouvait y lire la compassion. Plutôt que d'avoir peur de se faire exploser la cervelle elle était triste pour son bourreau. Elle se sentit impuissante, sa main retomba ballante et elle rangea son arme avant d'envoyer tous les objets à sa portée alors qu'elle hurlait des insultes contre elle-même dans sa langue. Elle alla ensuite d'un pas énervé dans le salon avant se mettre en boule dans un coin comme une enfant punie. Elle n'arriverait pas à lever la main sur elle. Elle était foutue, complètement foutue. Un silence de mort plana pendant de longues minutes tandis qu'elle cherchait une solution. Perdue dans ses pensées, elle n'avait même pas vu que la blonde l'avait rejoint et s'était accroupie face à elle. « Quel est ton nom ? » avait-elle naïvement demandé en espagnol pour qu'elle comprenne, accompagnée d'un sourire qui se voulait rassurant. Carmen se serait bien jetée sur elle avant de l'étouffer jusqu'à ce qu'elle laisse échapper son dernier souffle si elle en avait eu la force. Mais tout ce qu'elle pouvait faire était de la fusiller du regard, se murer dans son mutisme et ignorer sa question. Celle qui lui avait dit s'appeler Crystal lui posait de temps à autre une question anodine, en vain. Carmen quant à elle la toisait du regard, les lèvres scellées. S'écoulèrent bien des heures entières ainsi. Finalement l'espagnole se décida à se lever et lui adressa pour la première fois la parole d'un ton glacial. « Tu dois retourner dans ton pays. Maintenant.» « Je ne peux pas. Si je m'enfuie déjà, mon travail sera bâclé.» avait-elle aussitôt rétorqué avec douceur, ce même sourire angélique et insupportable sur les lèvres. Pauvre inconsciente.
Un lien étrange s'était noué avec la journaliste qui avait refusé de partir. Carmen avait fait croire qu'elle était morte et était venue lui rendre visite régulièrement pour voir si personne ne s'était rendu compte de rien. Crystal l'accueillait constamment avec joie tandis que pour sa part, la brune restait toujours aussi muette. Mais la supercherie fut découverte, et Carmen prit la raclée de sa vie. S'ils ne la laissèrent pas pour morte ou presque, c'était uniquement parce qu'elle avait la chance de se racheter en finissant le travail. Elle avait promis qu'elle le ferait même si évidemment elle n'en pensait pas un mot. Quand la journaliste la vit comme ceci elle sembla abasourdie, comme si elle réalisait tout juste la violence de ce monde qu'elle essayait de représenter avec de simples mots. Et lorsqu'elle revint à elle, sa première réaction ne fut pas de fuir mais d'embrasser celle qui tenait à peine debout. Confusion totale et pourtant Carmen y prit goût et elles se joignirent dans une étreinte mortelle car cette perte de temps signait leur arrêt mort. Pourtant elles n'eurent de la visite que le lendemain et ils avaient eu l'erreur de n'envoyer qu'un seul homme, son présumé successeur. Hélas pour lui Carmen fut la plus rapide car elle l'avait entendu arriver. Se jetant sur lui, elle avait attrapé son arme et l'avait tué sans hésitation sous les yeux de son amante. Sans trop savoir pourquoi ce fut à ce moment là qu'elle donna enfin son prénom à la journaliste. Elles avaient ensuite fuit et dès qu'elles avaient posé le pied en Angleterre, bien que la blonde ait insisté pour l'aider, Carmen avait disparu sans lui donner d’explication.
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| Sujet: Re: (f) DIANNA AGRON Lun 8 Avr - 20:06 | |
| coup de coeur pour le scénario. Un lien très intéressant et une réelle histoire, j'adhère. J'espère devenir une bonne Crystal! |
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