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 Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.

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Carmen Espinosa

Carmen Espinosa
« tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? »
« tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? »

(+) parlote : 15


Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  Empty
MessageSujet: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptyVen 1 Mar - 20:58


from tumblr (c)


Carmen Espinosa
+Tout journal, de la première ligne à la dernière, n'est qu'un tissu d'horreurs. Guerres, crimes, vols, impudicité, tortures, crimes de prince, crimes des nations, crimes des particuliers, une ivresse d'atrocité universelle.
25 ANS / 10 mai à Barcelone / Espagnole
Employée dans un casino, officiellement. Officieusement Homme (femme en l’occurrence) de main d'un puissant truand. / THE FIRE AND THE RAIN / Phoebe Tonkin
On pourrait croire Carmen muette car elle ne parle que si elle a quelque chose de bien précis à dire. Alors en général elle fonctionne par des gestes, des manières : elle soupire constamment car un rien l'agace. Elle lève les yeux au ciel quand on l'ennuie. Impatiente au possible elle tape frénétiquement du pied, fait claquer sa langue dans sa bouche ou joue de ses ongles sur la table en un rien de temps. Si toutefois elle prononce quelques mots sachez qu'Elle a un accent très prononcé et qu'elle ne maîtrise pas encore l'anglais parfaitement. Elle est lunatique, trop d'ailleurs : elle peut sembler être au bord du suicide et l'instant d'après aller faire des folies au bar du coin. Elle fume comme un pompier. Elle est impulsive, provoque souvent des bagarres et elle se bat d'ailleurs comme une tigresse, avec férocité. Officiellement elle travaille dans un casino mais elle est en réalité une sorte de bras droit d'un malfrat sans scrupules. Bien qu'elle vive dans un monde d'hommes, la gente masculine ne lui inspire que dégoût. De nombreuses cicatrices parsèment son corps. Elle a un tatouage dans le haut du dos: «  nos por lo ajeno, y el diablo por lo nuestro ». Ce qui veut dire « Le diable s'occupe de nous, et nous des autres. »

license to kill

Bang. First Blood. Douze ans et déjà criminelle, si cela n'avait pas été lui, il aurait été très fier son cher papa. Ah il ne s'y attendait pas à celle-là. Mais tout de même, il aurait pu s'en douter. Parce que papa, il traînait dans des affaires louches depuis fort longtemps et quand la petite Carmen fut née – malgré la déception de voir apparaître une fille – il savait qu'elle suivrait ses traces. Alors très tôt il lui a expliqué que la vie était une jungle où il fallait survivre et que seule la loi du plus fort était une vérité absolue. Le but du jeu était simple : apprendre à se faire respecter. A l'école Carmen était une caïd miniature. Celle qui tirait les cheveux de la fille parce qu'elle ne voulait pas jouer avec elle. Celle qui tapait le garçon parce qu'il ne voulait pas rejoindre sa bande, celle qui volait les goûters des élèves terrorisés et s'en servait comme monnaie d'échange. Et malgré les problèmes que cela pouvait causer elle pouvait compter sur son père qui sortait toujours la même excuse « Mais ce n'est qu'une enfant voyons. » Une enfant à qui il a appris à se servir d'un pistolet à ses dix ans à peine, sait-on jamais. Sauf que malgré sa sorte de complicité évidente avec son père, Carmen aimait sa mère plus que tout. C'était celle qui lui parlait toujours d'une douce voix, qui lui souriait, qui lui préparait des petits plats. Et depuis toujours, elle avait eu en elle ce besoin de la protéger, parce que c'était une femme admirable et que c'était celle qui l'avait mise au monde. Mais vilain papa criait tous les soirs sur maman, parfois même il la frappait quand il rentrait de mauvaise humeur. Et puis il s'enfuyait,courir dans les bras de sa "putain" disait maman. Et maman, elle avait pleuré, tous les soirs, pendant des années. Trop longtemps impuissante, Carmen n'avait pu qu'observer cette pseudo vie de famille qui se dégradait de jour en jour. Sauf qu'un soir cela dégénéra, papa s'était fait remonter les bretelles au travail, il est rentré à la maison hors de lui, complètement ivre et évidemment il se défoula sur son souffre-douleur attitré : sa femme. Tout cela sous les yeux de sa fille. Oh vous savez, il fallait bien qu'elle apprenne. Hélas il était allé un peu trop loin cette fois-ci et la pauvre femme ne survécut pas à cet ultime acharnement. Il se sentit bien embêté, qu'allait-il faire si elle était réellement morte ? Il avait tenté vainement de la réanimer en la secouant. Pendant ce temps Carmen avait attrapé le pistolet qui dépassait de son pantalon et quand il s'était retourné, il l'avait regardé de ses yeux suppliants, misérable qu'il était, sans aucune fierté, pathétique. La petite fille n'eut aucune hésitation à tirer sur ce vaurien. Adieu papa.

Manque père manque de repères dit-on. Mais manque de mère excès de colère et manque de la paire alors là c'est le début de l'enfer. Carmen était jeune alors elle n'avait pas eu à se soucier d'aller en prison ou non. De toute façon faites le calcul : père alcoolique plus mère battue à mort plus petite fille de douze ans; on lui accorda d'entrée la légitime défense. Sauf que, événements traumatisants signifie forcément psy emmerdant. Mais l'orpheline avait comme perdu la parole depuis le fameux soir. C'était la réaction typique que de se renfermer sur soi-même et elle n'y avait pas échappé. Deux fois par semaine elle voyait donc un inconnu à qui elle était censée raconter sa vie, le regardait dans les yeux pendant une heure et s'en allait. Une structure d'adoption s'était occupée d'elle jusqu'à ce qu'une famille l'accueille. Les pauvres s'étaient coltinés une fille traumatisée qui faisait la muette et qui ne s'exprimait que par des des moments de colère où elle cassait tout autour d'elle. C'était difficile d'avoir une adolescente qui les reniait et pour Carmen de vivre avec des inconnus qu'elle n'aimait pas et qu'elle n'essayait même pas d'apprécier. Elle faisait tout pour qu'ils la jettent dehors. Elle brutalisait ses camarade de classe, emmerdait les professeurs, traînait avec les stupides et vilains garçon attirés par son côté ténébreux, fumait, rentrait à point d'heure et tout le tralala. Les seuls mots qui sortaient de sa bouche étaient « T'es pas ma mère. » Mais rien n'y fit. Puis un beau jour, âgée de dix-huit ans, elle s'enfuit, tout simplement.

Carmen était à la rue, sans le sou, sans rien à vrai dire si ce n'était que sa volonté absurde de rester en vie. Elle volait pour survivre, ramassait les mégots par terre et dormait où le vent la menait. Et qui vient ramasser les jeunes filles démunies qui traînent dans les ruelles sombres ? Exactement, les pourritures qui vendent celles qui n'ont rien en leur promettant de les aider à s'en sortir. C'était un homme qui avait les cheveux encore plus longs qu'elle, noués à l'aide d'un élastique. Et sans trop qu'elle ne sache pourquoi il venait régulièrement lui offrir un sandwich puis discutait un peu avec elle, enfin monologuait. Derrière cette adolescente à l'allure misérable, aux traits creusés et aux ongles noircis de saleté il avait aperçu la jolie jeune femme qui s'y cachait. Ses visite devinrent quotidiennes car l'orpheline n'avait plus la force ni l'envie de bouger ailleurs. Puis un beau jour, quand il jugea le moment approprié, il invita Carmen à le suivre. Il prendrait soin d'elle et la remettrait sur pied en un rien de temps parce qu'elle l'avait touché ou une connerie du genre. Mais qu'est-ce qui pouvait être pire que la rue s'était-elle dit. Les premières semaines il avait tenu promesse et s'était bien occupé d'elle.. Il l'avait même présentée à ses prétendues amis, des gros bras et des jolies et très jeunes femmes pour la plupart. Elle avait repris pied mais elle n'était pas stupide et avait compris depuis un moment ce qu'il comptait faire d'elle. Mais lorsqu'il lui demanda clairement de lui rendre un service en retour, celui d'accepter d'accompagner les hommes qui paieraient pour une soirée avec elle, la brune lui cracha à la figure avant même qu'il ne termine sa phrase. Ses gardes essayèrent de la maîtriser mais elle eut tout de même le temps de mettre un homme à terre avant qu'ils ne la coincent. Celui qu'elle avait humilié, le patron, sembla pourtant plus amusé qu'autre chose et c'est ainsi qu'il eut une idée plutôt audacieuse et qui détermina l'avenir de Carmen.

Voilà des déjà de nombreuses années que l'orpheline travaillait pour lui. Proxénète, dealer, assassin, même après tout ce temps elle ne savait définir ses activités. Mais elle s'en fichait, parce quelle ne faisait pas le trottoir et qu'elle était plutôt bien payée. Son job à elle c'était de "transmettre un message" comme ils disaient chez eux. Dès qu'un client, quel qu'il soit essayait de se jouer de son boss, elle allait lui faire comprendre que cela était tout bonnement impossible. Au départ à l'aide de simples menaces, mais lorsqu'ils apercevaient le prétendu Big-Boss envoyer une pauvre femme, ils se mettaient simplement à rire. Alors là on passait aux choses sérieuses et Carmen les laissait dans un piteux état, du genre qui vous conduit à l'hôpital entre la vie et la mort. Et pour ceux qui avaient récidivé, elle avait juste à appuyer sur la détente, comme avec son père. Bang, plus de problèmes. Elle était la messagère du diable en quelque sorte et avait fait de nombreux tours par la case prison pour le protéger même si celui-ci trouvait toujours un moyen de la libérer. Elle vivait dans le chaos, chaos qu'elle semait elle-même après instructions. Un cercle vieux où elle était coincée car celui qui l'avait ramassé dans la rue était autant son ami que son tortionnaire et elle savait pertinemment que si elle merdait, il n'hésiterait pas une seconde à trouver quelqu'un d'autre pour exécuter son propre boulot et la faire descendre.

Carmen était face à la porte de sa prochaine entrevue, dans un immeuble délabré qu'elle n'avait eu aucun mal à trouver. Elle rentrerait, un coup de feu se ferait entendre et puis elle s'en irait, la routine. Sa prochaine cible était journaliste, du genre à fouiner dans les sombres aspects de l'Espagne pour écrire quelques mots sur un bout de papier dont tout le monde se ficherait éperdument. Mais si des noms et des images sortaient de là, cela devenait inacceptable. Elle devait donc supprimer l'indésirable. La messagère frappa trois coups et on ne tarda pas à lui ouvrir. Elle ne regarda même pas qui lui ouvra, elle entra et claqua la porte derrière elle puis sans crier gare attrapa la gorge de l'emmerdeur qu'elle plaqua contre un mur. « Vous savez pourquoi je suis là. » C'est ce qu'elle aurait du dire pourtant aucun mot ne franchit la barrière de ses lèvres lorsqu'elle découvrit qu'elle étranglait à moitié une femme. Une femme dont le cou était si fin qu'elle aurait pu le briser d'une pression. Carmen ne put masquer sa surprise. Si elle n'avait aucun remords à frapper des hommes qui de toute façon la répugnaient de nature, c'était tout simplement hors de question avec les femmes. Et non ce n'était pas une question de principe, c'était juste que cela faisait remonter en elle le désagréable souvenir de sa mère. Elle ne voulait pas encaisser le rôle de son père et son patron lui avait juré que les seules femmes auxquelles elle aurait affaire ne se baseraient que sur de simples intimidations. Mais pour celle-ci il avait bien précisé qu'elle ne pouvait pas repartir. Après tout ce temps, elle pouvait bien faire un effort non ? Reprenant de sa contenance elle resserra son étreinte et sortit son son arme avant de point le bout de celle-ci sur le front de sa victime. Elle venait tout juste de remarquer que celle-ci ne tremblait pas. Carmen la fixa alors de son regard intransigeant. Elle semblait avoir à peu près son âge mais ses cheveux blonds et son teint pâle prouvaient qu'elle ne venait clairement pas de là. Elle soutenait son regard, chose qui habituellement l'horripilait et la faisait passer à l’action. Mais elle était différente, elle ne la défiait pas non, elle semblait presque accepter sa sentence, prête à mourir car là étaient les risques de son métier. C'était absolument ridicule, elle semblait si candide, si innocente et elle ne se débattait pas, ne criait pas, ne disait pas même un mot. Pire encore, dans ses yeux Carmen pouvait y lire la compassion. Plutôt que d'avoir peur de se faire exploser la cervelle elle était triste pour son bourreau. Elle se sentit impuissante, se main retomba ballante et elle rangea son arme avant d'envoyer tous les objets à sa portée alors qu'elle hurlait des insultes contre elle-même dans sa langue. Elle alla ensuite d'un pas énervé dans le salon avant se mettre en boule dans un coin comme une enfant punie. Elle n'arriverait pas à lever la main sur elle. Elle était foutue, complètement foutue. Un silence de mort plana pendant de longues minutes tandis qu'elle cherchait une solution. Perdue dans ses pensées, elle n'avait même pas vu que la blonde l'avait rejoint et s'était accroupie face à elle. « Quel est ton nom ? » avait-elle naïvement demandé en espagnol pour qu'elle comprenne, accompagnée d'un sourire qui se voulait rassurant. Carmen se serait bien jetée sur elle avant de l'étouffer jusqu'à ce qu'elle laisse échapper son dernier souffle si elle en avait eu la force. Mais tout ce qu'elle pouvait faire était de la fusiller du regard se murer dans son mutisme et ignorer sa question. Celle qui lui avait dit s'appeler Crystal lui posait de temps à autre une question anodine, en vain. Carmen quant à elle la toisait du regard, les lèvres scellées. S'écoulèrent bien des heures entières ainsi. Finalement l'espagnole se décida à se lever et lui adressa pour la première fois la parole d'un ton glacial. « Tu dois retourner dans ton pays. Maintenant.» « Je ne peux pas. Si je m'enfuie déjà, mon travail sera bâclé.» avait-elle aussitôt rétorqué avec douceur, ce même sourire angélique et insupportable sur les lèvres. Pauvre inconsciente.

Un lien étrange s'était noué avec la journaliste qui avait refusé de partir. Carmen avait fait croire qu'elle était morte et était venue lui rendre visite régulièrement pour voir si personne ne s'était rendu compte de rien. Crystal l'accueillait constamment avec joie tandis que pour sa part, la brune restait toujours aussi muette. Mais la supercherie fut découverte, et Carmen prit la raclée de sa vie. S'ils ne la laissèrent pas pour morte ou presque, c'était uniquement parce qu'elle avait a chance de se racheter en finissant le travail. Elle avait promis qu'elle le ferait même si évidemment elle n'en pensait pas un mot. Quand la journaliste la vit comme ceci elle sembla abasourdie, comme si elle réalisait tout juste la violence de ce monde qu'elle essayait de représenter avec de simples mots. Et lorsqu'elle revint à elle, sa première réaction ne fut pas de fuir mais d'embrasser celle qui tenait à peine debout. Confusion totale et pourtant Carmen y prit goût et elles se joignirent dans une étreinte mortelle car cette perte de temps signait leur arrêt mort. Pourtant elles n'eurent de la visite que le lendemain et ils avaient eu l'erreur de n'envoyer qu'un seul homme, son présumé successeur. Hélas pour lui Carmen fut la plus rapide car elle l'avait entendu arriver. Se jetant sur lui, elle avait attrapé son arme et l'avait tué sans hésitation sous les yeux de son amante. Sans trop savoir pourquoi ce fut à ce moment là qu'elle donna enfin son prénom à la journaliste. Elles avaient ensuite fuit et dès qu'elles avaient posé le pied en Angleterre, bien que la blonde ait insisté pour l'aider, Carmen avait disparu sans lui donner d’explication.

Londres, voilà désormais presque une année que Carmen y vivait à l'aide de faux papiers. Sa présence illégale faisait donc d'elle une clandestine. Son regard se posa sur les enseignes clignotantes du casino où elle travaillait. C'était ironique car elle faisait absolument le même "métier". La messagère pour une autre ordure, en tout point similaire avec la précédente exceptée que celle-ci était riche et possédait innombrables biens. Mais avec lui il fallait faire profil bas et pour sauver les apparences elle était forcée de travailler en plus au bar de l'établissement. Porter des robes moulantes, marcher sur des talons aiguilles et rire niaisement à tous les clients qui lui adressaient la parole constituaient l'autre partie de son boulot. Elle avait du se créer un clone qu'elle ne maîtrisait d'ailleurs toujours pas et peinait encore à s'adapter à sa nouvelle vie. Mais elle était toujours en vie et c'était là le principal.

+ FONDAMENTALEMENT, TU ES PLUTÔT GENTIL OU MÉCHANT ? Fondamentalement rien du tout. Ni l'un ni l'autre. Quoique la plupart l'appellerait méchante puisqu'elle traîne avec les vilains de ce monde mais après tout que peut-on qualifier de bien ou de mal ? Prenez un cadavre, s'il a été tué par un policier ou un tueur à gage au final il reste mort non ? Elle fait ce qu'elle a à faire pour survivre, point barre.
+ ES-TU HEUREUX DANS CE QUE TU FAIS DE TA VIE ? Non, peut être. Elle n'a jamais été très proche du bonheur et vrai dire elle ne connaît pas grand chose d'autre que sa condition actuelle. Elle n'est certes pas très privilégiée, mais son existence calamiteuse elle y est habituée et cela pourrait être tellement pire alors ma foi.
+ POURQUOI ES-TU UNE PERSONNE AGRÉABLE ? Probablement parce qu'elle ne l'est pas. Elle fait toujours la gueule, un rien l'exaspère, et si elle ne tire pas la tronche elle fusille quiconque du regard. Les quelques rares sourires qui fleurissent sur son visage et se fanent aussitôt sont purement hypocrites car obligatoires. La politesse n'est pas son fort et l'approche tout sourire tout en douceur encore moins. Mais lorsqu'elle est ivre elle se lâche pour évacuer et il n'est pas rare qu'elle montre un côté déjà plus amusant.
+ ET QUELS SONT TES POINTS FAIBLES ? Son impulsivité et son agressivité très certainement. Elle n'a aucun contrôle sur ses émotions. Elle s’énerve très facilement et si son interlocuteur ne se mange pas un pain, le siège où il était assis lui risque de se retrouver en mille morceaux. C'est parfois une véritable brute et cela peut alors causer problème lors d'une mission censée être discrète.
+ PLUTÔT AMI OU ENNEMI DE LA LOI ? Ennemie à coup sûr. Elle ignore totalement la loi et les règles mis à part celles de son boss. Toutes ses activités sont illégales ou presque. Les cellules ne lui sont d'ailleurs pas étrangères, que ce soit pour des simples altercations dans un bar ou des crimes bien plus graves.
+ TON OBJET FÉTICHE ? Ses mains (si, une main est un objet), le combat rapproché c'est son truc. Donner des raclées ou des coups de poing, étrangler, même caresser quelques amants de passage. C'est une femme, elle est plus ou moins mignonne mais elle tape très fort et pour un rien soit dit en passant. Sinon elle a toujours un flingue sur elle mais il sert surtout à intimider où tuer froidement si le délai est dépassé.
+ PARLE MOI DE TES PENCHANTS AMOUREUX ET DE TA SITUATION ACTUELLE ?  L'amour, qu'est-ce donc que cela ? C'est bien le cadet de ses soucis de trouver l'âme sœur, et puis paraîtrait que cela n'apporte que des tonnes de problèmes. Mais il est vrai qu'elle se laisse parfois aller aux plaisirs de la chair. La plupart du temps avec les femmes car les hommes la révulsent mais avec quelques coups de trop dans le nez vous savez...
+ ET TON PLUS GRAND RÊVE ? Elle n'a pas le temps de rêver voyons ! Croyez-le ou non, rêver est un luxe. Et elle n'en a pas les moyens. Mais si vous insistez, elle troquerait bien sa vie avec quelqu'un de fortuné et pépère sur son île privée si cela était possible.
+ ES-TU UN BON CITOYEN DE LONDRES ? Dans le principe, pas du tout. Mais, malgré ses grabuges, elle sait tout de même se tenir un minimum pour ne pas finir chaque soir chez les flics.
+ QUEL A ÉTÉ TON CHOIX DE VIE LE PLUS RÉUSSI ? Celui de ne pas se faire tuer (du moins pour le moment) sûrement. Elle n'a jamais eu le choix de grand chose mais sa plus grande " réussite " est probablement de s'être enfuie à Londres sans s'être faite choper par ceux qui la cherchaient.
+ ET TA PLUS GROSSE DÉFAITE ? Celle d'avoir épargné la vie à une journaliste à qui elle était censé faire comprendre qu'il ne fallait pas fouiller plus loin. Celle d'avoir été faible face à une pauvre fille, alors qu'elle cogne sans habituellement sourciller. Au lieu de cela elle est carrément devenue intime avec elle et c'est de sa faute si elle a du quitter l'Espagne après s'être faite longuement tabasser par ses employeurs de l'époque. La perte de sa volonté de fer et de son peu de scrupule, c'est bien la pire chose qui a pu et qui puisse encore lui arriver.
+ TA PIRE ADDICTION ? La cigarette. Un, deux voire même trois paquets par jour. C'est clope sur clope, la seule chose qui la calme relativement car elle refuse de plonger dans le cercle vicieux des drogues. Et l'alcool est notable sachant qu'elle se noie dedans quand elle n'a rien à faire. De toute façon avec la vie qu'elle mène, on sait tous que quand elle mourra, ce ne sera ni d'un cancer ni d'une cirrhose.

behind the screen

PRÉNOM/PSEUDO  Alexis. ÂGE 21 ans. PRÉSENCE Autant que possible chef ! IL EST COMMENT NOTRE FORUM ?Super sympa, on a bien discuté lui et moi, il est plutôt beau gosse d'ailleurs. Et les membres qui l'habitent m'ont l'air tout aussi charmants en plus d'être des Rpgistes de qualité ! MOT DE LA FIN Wakatépé Baboune ! PV ou PI PI


Dernière édition par Carmen Espinosa le Mar 5 Mar - 20:06, édité 1 fois
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Aaron Z. Standford

Aaron Z. Standford
« je ne vous avais pas reconnue toute habillée »
« je ne vous avais pas reconnue toute habillée »

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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptyVen 1 Mar - 21:01

Phoebe !! petit coeur :hrt:
Haha j'adore ton mot de la fin ! mdr
En tout cas : Bienvenue warrior
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Carmen Espinosa

Carmen Espinosa
« tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? »
« tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? »

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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptyVen 1 Mar - 21:02

Wow c'est du rapide, merci bien ! What a Face
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Invité
Invité


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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptyVen 1 Mar - 21:05

Tonkin est juste parfaite :youpi:
Bienvenue par ici I love you
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Josué Wilde

Josué Wilde
« votre nouveau téléphone. parler ici, écouter là »
« votre nouveau téléphone. parler ici, écouter là »

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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptyVen 1 Mar - 23:54

Bienvenue par minou ! warrior
Bonne chance pour ta fiche ! areuh
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http://lorgasmeintellectuel.tumblr.com/

B. Charlie Gallagher

B. Charlie Gallagher
administratrice ⌂ j'me détraque à coups d'insomnies
administratrice ⌂ j'me détraque à coups d'insomnies

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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptySam 2 Mar - 0:07

REBIENVENUE.
Amuse toi bien :hrt:
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Madelyn E. Shaw

Madelyn E. Shaw
« vous avez la fâcheuse habitude de survivre  »
« vous avez la fâcheuse habitude de survivre »

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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptySam 2 Mar - 3:26

Tonkin la magnifique **

bienvenue et bonne continuation pour ta fiche petit coeur
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Trinity Nightmare

Trinity Nightmare
« tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? »
« tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? »

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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptySam 2 Mar - 12:25

Bienvenue à toi et bon courage pour la fiche **
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Jefferson Nightmare

Jefferson Nightmare
« tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? »
« tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? »

(+) parlote : 132


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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptySam 2 Mar - 12:50

Bienvenue iciii nyaaah
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Zan P. Zemko

Zan P. Zemko
« Finis le travail ! Pulvérise-moi tout ça ! »
« Finis le travail ! Pulvérise-moi tout ça ! »

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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptySam 2 Mar - 13:09

Phoebe ?
ah ouais °°
C'est un personnage assez intéressant que tu nous fais là susu !
Breeeeeeef, sur ce je voulais te dire bienvenue et bonne chance pour l'histoire xD !
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Carmen Espinosa

Carmen Espinosa
« tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? »
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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptyDim 3 Mar - 13:01

Meurci à vous tous ! What a Face

Ah Gemma est tellement canon aussi, surtout sur cet avatar avec son regard... on a presque envie qu'elle nous bouffe tout cru ! Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  198965428

Breeeeef merci Zan, j'essaie en tout cas d'être un brin original Razz
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Elliot T. Kingston

Elliot T. Kingston
« votre nouveau téléphone. parler ici, écouter là »
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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptyDim 3 Mar - 18:20

Oh, une méchante! *-*
Bienvendue ici! dada
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Alessandro M. Renzetti

Alessandro M. Renzetti
« Finis le travail ! Pulvérise-moi tout ça ! »
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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptyLun 4 Mar - 7:04

bienvenue I love you
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Invité
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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptyLun 4 Mar - 15:38

Bienvenue petit coeur
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Carmen Espinosa

Carmen Espinosa
« tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? »
« tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? »

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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptyMar 5 Mar - 19:59

Merci à vous trois ! Smile
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T. Dylan Stoker

T. Dylan Stoker
ADMINISTRATRICE ⌂ DAUNTLESS - WAITING FOR THE WORLD TO   FALL APART
ADMINISTRATRICE ⌂ DAUNTLESS - WAITING FOR THE WORLD TO FALL APART

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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptyJeu 7 Mar - 12:58

⌂ the fire and the rain.

" Être ou ne pas être, telle est la question ? "
je t'ai jamais dis bienvenue, la honte ! donc bienvenue. Arrow très beau personnage que t'as fais là, ta fiche est gé-niale, tu écris vraiment trop bien c'est merveilleux yeuxmignons tu vas faire un scénario de crystal ? parce que le lien est juste parfait :wof: : bref, je te valide sans tarder (encore (a)), bienvenue à la maison !



Toi, le badge de la police, il t'est pas inconnu. Soit tu l'arbores fièrement sur ton nouveau déguisement de flic accessoirisé, soit tu le détestes parce qu'il t'a déjà mené tout droit à la case prison. Bref, t'es pas vraiment inconnu en bataillon dans la lutte ou la prolifération des méchants dans ce monde, alors forcément, t'as une petite place toute spéciale. Carmen, n'oublie jamais que nul n'est à l'abri de la prison, que tu sois policier ou petit bandit de grand chemin.
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Carmen Espinosa

Carmen Espinosa
« tu dors toujours avec une arme sous ton traversin? »
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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  EmptyJeu 7 Mar - 20:27

On s'était déjà croisés dans la partie invités alors ma foi c'est pas si grave areuh
Merci beaucoup pour les compliments, ça fait super plaisir et je suis content que ça plaise !
Effectivement je pensais faire un scénario avec Crystal (j'innove encore puisque je n'en ai jamais fait Razz )
Bref, merci encore ! Smile
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MessageSujet: Re: Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.    Carmen ~ L'horreur et la fatalité se sont données carrière dans tous les siècles.  Empty

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