Aaron Z. Standford « je ne vous avais pas reconnue toute habillée » (+) parlote : 143 | Sujet: AARON Z. STANFORD || BAD IS THE NEW BLACK (terminée) Ven 22 Fév - 20:50 | |
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Aaron, Zachary Standford + THIS IS YOUR LIFE AND IT'S ENDING ONE MINUTE AT A TIME " FIGHT CLUB 33 ANS / VANCOUVER UN 23 AVRIL / AMERICANO-CANADIENNE CONSULTANT AU MI6 / ACE OF SPADES / JOSHUA JACKSON Aaron possède un QI largement suppérieur à la moyenne. Diagnostiqué HPI à l’âge de 11 ans, tout le destinait à un bel avenir. Diplômé du MIT il a pourtant du recommencer à deux reprises sa dernière année tant il était non-assidu et plus appliqué dans son petit business de vol de voitures naissant qu’à ses études || || Il est originaire de Vancouver et pense bien y terminer ses jours sans pour autant qu’il ne l’exprime à coeur ouvert || || Aaron a une facheuse tendance à être cynique et à boire un peu trop. Une combinaison qui peut le rendre extrêmement désagréable || || Aaron aime les femmes, vraiment. Il ne fait pas partie de ses lourds dragueurs et play boy mais il ne sait résister à une belle fille. Il est d’ailleurs incapable de donner une définition de la femme parfaite à ses yeux. Elle peut être aussi bien blonde, que brune ou rousse, grande ou petite, … tout est une question de feeling et de regard. Cela dit, il possède un grand mal à s’attacher fidèlement sur le long terme. Il n’oublie jamais ses conquêtes mais ne s’imagine pas pour autant terminer sa vie avec la même femme … du moins c’est ce qu’il croit jusqu’ici. || || Aaron est un fin amateur de whisky mais il a un peu trop tendance à se réfugier dans ce plaisir lorsque les choses tournent mal. || || Aaron possède un berger allemand femelle de 5 ans qui le suit partout et lui obéit au doigt et à l’oeil. Alex : Un animal fidèle, loyal et qui s’avère également plutôt efficace comme garde du corps en cas de besoin. || || Notre homme se déplace principalement en moto ou un pick up. L’entre deux ne lui dit absolument rien. || || Aaron n’est pas bagarreur. Il préfère garder une image de “bad boy gentleman” comme il se décrit lui même. Il lui est déjà arrivé à quelques reprises de foutre son poing dans la gueule d’un autre mec mais seulement en dernier recours et en n’allant jamais plus loin.|| || On peut le caractérisé de : savant, jaloux, borné, ironique, malicieux, matheux, grognon, perspicace, avenant, lucide, élitiste, torturé, sociable, rigoureux || || Aaron est un grand amateur de hockey sur glace. Il supporte les Canucks de Vancouver ainsi que les Boston Bruins || || Aaron possède des contacts dans chaque états des Etats Unis ainsi qu'au Canada concernant à peu près tout secteur d'activité mafieuse : vol de voiture, revente de pièces détachées, trafic d'armes, de drogues, blanchiment d'argent, jeux clandestins, hommes de main, ... Le seul secteur auquel il refuse de toucher de près ou de loin n'est autre que le trafic d'êtres humains. || || Aaron a pour politique de toujours sortir de ses deals les mains propres. Il ne fait jamais de sales boulot lui même et se contente d'assurer les prises de contacts entre "parties prenantes" ainsi que d'éventuelles transactions. Ce qui se passe après ne le regarde pas. || || Aaron a toujours refusé de s'allier à une famille ou à un gang en particulier. Il agit en solo et ne fait confiance ni aux uns ni aux autres. Il a pour habitude de ne compter que sur lui même || || Aaron est connu et considéré comme homme de parole. Dans le milieu malfrat, ses services et contacts sont respectés et payés à prix d'or car internationnux. Tous se mettent d'accord pour lui accorder la qualité de véritable 'homme d'affaire" loyal. Aaron est discret, sait garder son nez dans ses affaires et avec lui : une parole donnée est une parole tenue. || || Aaron sait se servir d'une arme mais n'en a jamais possédé une et n'en a jamais fait usage. || || Etrangement et secrètement, Aaron est une véritable crème avec les enfants. Ces derniers l'adore et il sait leur rendre la pareille. Etre père aurait pu être l'un de ses rêves, si seulement il avait choisi un autre chemin de vie.
license to kill INTRO || || Dans ce milieu un peu particulier, Aaron est ce que l’on appelle un électron libre. Ou du moins il l’était. Un mec qui bossait pour lui, se le jouait solo, perso. La principale personne en qui Aaron à confiance n’est autre que lui même. Ses relations avec les diverses mouvances criminelles d'Angleterre sont diverses. Aaron est le genre de mec qui connait “un peu tout le monde un peu partout”. Il possède des contacts à peu près dans tous les domaines et a su au fil des années se créer une réputation de mec sérieux. Il a déjà bossé pour les uns tout autant que pour les autres. Independant. Toujours. Il gere son business seul. Il fourni, il aide aux “transactions” diverses, il refourgue du matos, mais surtout, Aaron connait toujours “un mec qui connait un mec” qui a de quoi se rendre utile. Impliqué à de nombreuses reprises dans pas mal de sales petits (voire gros) boulot, la flicaille a finit par lui tomber dessus. Une fois, deux fois, trois fois, … A chaque tour au poste, Aaron couvre ses traces. Il tombe pour des faits minimes en comparaison avec ce qui se trame dans les rues sombres de sa ville d'adoption. Les flic le savent, le Mi6 aussi. Chaque passage par la case prison ne lui apporte rien de plus que de nouveaux contacts, de nouvelles manières de procéder, de nouvelles idées, nouveaux projets. Mais le point faible d’Aaron est qu’il déteste se faire prendre, surtout : déteste devoir se meler à la fune carcérale. Cela n’échappe pas à certaines autorités. Aaron en sait tellement plus qu’il ne veut l’avouer. Son regard est acéré, ses oreilles omniscientes et son QI largement suppérieur à la moyenne. Rapidement un contrat fut posé sur la table : Consultant pour le MI6. Il apporterait son aide dans la lutte contre le crime organisé et à lui la promesse d’une liberté conditionnelle pouvant mener à l'effacement complet de son casier. Une offre qui ne se refuse pas. Mais depuis que Aaron est passé du côté des forces de l’ordre, certaines choses, certains liens changent ! Il ne fait plus aussi bon vivre à Londres pour Aaron et bien que ne criant pas sur tous les toits, son impliccation au sein de l’agence, la rumeur court … Fait gaffe à tes arrières Aaron. Ici les traitres, on ne les apprécie pas des masses ... CORPS|| ||QG des bureaux du MI6 à Londres || 22h19 || Bureau du chef de section. Aaron est assis sur sa chaise, adossé, l'air serein, le regard fixe sur cet homme en costume étriqué face à lui. Une piètre qualité. Il ne doit pas être agent. Il ne porte pas de flingue et son assurance est feinte. Un Psy. Des lunettes sur le bout de son nez, il griffonne dans un cahier blanc posé sur l'immense bureau. La pièce est assez épurée, vitrée. Les lumières de la ville semblent infinies vues de si haut. Ils sont au 31ème étage. Monsieur Standford, comme vous devez le savoir, ceci est la dernière étape de votre changement de situation. Cet entretient personnel sera filmé et enregistré et constituera la base de votre acceptation au sein du bureau fédéral en tant que consultant. Je pense qu'il est inutile de vous rappeler les closes de ce contrat ...Aaron le coupe. Je joue les balances, on coopère, vous coffrez deux trois gros poissons, vous êtes heureux et je retrouve mon casier vierge ainsi que ma liberté ... Ouais je pense que j'avais compris à la seizième explication ! Alors allons-y, finalisons toute cette mascarade avant que je ne change d'avis .... ! Le mec en face relève le faciès de son calepin. Sa mine est plus sévère. Aaron sait que ce n'est pas exactement ce qu'il aurait du lâcher mais il commençait à trouver le temps long. Cela faisait des semaines que ces putains de négociations duraient. Il n'était pas encore certain de dans quoi il venait de s'embarquer mais il désirait avancer, bouger. Que les choses se fassent et il verrait bien. De toute façon, dire non était impossible. Dire non c'était se retrouver le cul en prison avec l'assurance que l'un ou l'autre de leur agent prendrait un malin plaisir à creuser sa vie jusqu'à la moëlle pour s'assurer qu'il reste à croupir là le plus longtemps possible : No way ! Très peu pour lui. Entretient final. Sujet Aaron Standford postulant consultant. Début d'entretien. Veuillez déclinez nom, prénom, âge, nationalité, orientation sexuelle, adresse et lieu de naissance.Un sourcil se lève. Sérieux ? Quelle belle connerie. Officialiser pour officialiser. Comme s'ils ne connaissaient pas tous déjà la réponse à ses questions. Mais bon, cela faisait sûrement partie du test. Alors Aaron jouerait les mecs patient. Encore un peu. Il répondrait à ses foutaises de questions sans même lever le petit doigt. S'ils voulaient connaître la couleur de ses caleçons, ils le sauraient. Non il ne craquerait pas. S'armant dès lors d'un fin sourire en coin narquois, Aaron se lança dans ses réponses avec ... presqu'un certain amusement. Aaron, Zachary Standford, 33 ans, de nationalité américano-canadienne. Né à Vancouver et résident à Londres depuis plus de 5 ans. Quant à savoir aux côtés de qui j'aime me réveiller un lendemain de soirée ... Je les aime voluptueuses et au cheveux longs, très longs de préférence. Oh et j'ai fait mes études à Boston : MIT. Vous connaissez ? Demande-t-il avec taquinnerie. Le psy ne répond pas et continue. Parlez nous de vous, de votre caractère : qualités, défauts. Que pensent vos proches de la personne que vous êtes vraiment, hors "business" ?Ca faudrait peut-être aller demander aux concernés non ?? Ok je réponds. Contrairement à ce que vous devez surement penser de moi, je pense être un gars pas trop mal. J'ai grandit élevé à la petite cuillère des bonnes manières vous voyez. Le respect surtout et l'honneur. Un peu le cliché de la famille parfaite canadienne. Nous étions 4 garçons et j'étais le plus jeune, voilà qui forge le caractère. Je ne suis donc pas du style à me faire marcher sur les pieds mais ça je suppose que vous l'aviez très vite capté. Je sais me faire respecter, je n'ai pas peur de l'adversité ni du challenge. Je suis du style fonceur et particulièrement têtu. On me dit assez solitaire dans l'âme. Pas vraiment du style à rester à l'écart du monde mais j'ai besoin de mes moments de réflexion entièrement seul ... Retenez bien l'info avant de me coller un agent en manque d'affection fraternelle ou un truc du style car je vous préviens que ça n'ira pas ! Pour le reste je me mixe aisément à toute sorte de population. J'ai le don d'adaptation facile : déformation professionnelle qui m'aide à intégrer les masses. Ce ne serait pas le cas, je serais plutôt dans la merde à l'heure actuelle. Enfin peut-être même que je ne serais plus là tout court. Du côté des proches proches ... J'ai souvent entendu que je gardais un côté très gamin ! Selon de qui ça vient, cela peut-être pris comme un compliment ou une insulte. Personnellement je revendique ce côté immature. Un QI comme le mien, au quotidien, c'est crevant ... ! Sinon en gros je dirais aussi que je suis : "professionnel", curieux, possessif, jaloux, droit, et bon le reste vous verrez bien ... Nous avons besoin de savoir si vos conquêtes passées pourraient être un éventuel obstacle à votre nouveau poste. Veuillez déclinez vos diverses relations dans le détailsAaron lâche un petit rire. Il se passe une main dans le cheveux et lâche Vous avez la nuit ? On compte les prostituées ou pas ? Non parce que soyez précis hein, la question est vaste. Il secoue la tête, quelque peu affligé par le contenu de ce dernier entretient. Il se replonge dans un certain passé, évoque l'une ou l'autre histoire sans importance, les filles de passages, son attrait pour la beauté, son respect du chromosome X et puis s'attarde un plus sur sa dernière relation dite "sérieuse" : Elle s'appelle Charlie. Je l'ai rencontrée dans un bar alors que j'avais 27 ans. Elle en avait 25. Elle bossait pour le service communication de la Peta, vous savez cet organisme de défense de la cause animale. Entre nous, le courant est tout de suite passé. C'était carrément électrique ! Je n'avais jamais connu ça. Tout en elle me plaisait : son physique, son mental, son investissement, son combat, son fort caractère, et même ses crises de jalousie. Elle me rendait dingue tout simplement. Et je pense que le sentiment était réciproque. Seulement, on ne peut pas dire que notre relation ait été de tout repos. Plus le temps passait et plus je me rendais compte que Charlie pouvait passer d'un extrême à l'autre pour un rien. Elle passait de la fougue à la haine en un temps record. Le verdict mis un an à tomber : bipolarité extrême. Une maladie reconnue qui ne le sera cependant pas par Charlie. Elle est longtemps restée dans le déni, persuadée qu'elle serai capable de s'en sortir seule. Seulement voilà, la maladie la rongeait tout autant que notre relation. Elle devint même violente. Toutes ses fois où elle tentait de lever la main sur moi me rendait dingue. Pas le geste en lui même mais de la voir dans cet état de détresse sans pouvoir y faire quoi que se soit. Alors je la laissais faire de temps à autre. Et puis si elle allait trop loin je l'empoignais … ce qui avait généralement le don de la faire pleurer. Je détestais ça tout autant que ses passes violentes. Elle s'effondrait alors, en larmes, à deux doigts de vouloir passer de l'autre côté de la vie. Peu comprenaient la raison de mon attachement. Tous me conseillaient de "planter la folle" et de me barrer. Seulement lorsqu'on aime, on aime. Cette fille je l'avais dans la peau ! Je pense que j'aurais pu crever pour elle. A croire que son état était contagieux. Et puis souvent, plus les crises étaient noires et plus son retour à la vie réelle était brillant. Dans ces cas notre symbiose était à ce point parfaite que le monde aurait pu s'écrouler, nous aurions toujours eu des visages souriant. Notre amour était au-delà tout mots, de toute folie. C'était presque … magique. Mais comme vous pouvez l'imaginez, ce genre de relation épuise le système nerveux. Et c'est un jour où Charlie me menaça avec le couteau de la cuisine que j'ai décidé que c'était terminé. Que je ne pouvais plus supporter ce mode de vie. Que si elle ne me tuait pas, notre relation le ferrait. Je devais m'éloigner, pour moi d'abord mais pour elle aussi. Aaron a le regard étrangement intense, il balaye le sol, il semble plus investi. Cette histoire le touche et cela se voit. C'est la première fois qu'il la raconte depuis qu'ils ne sont plus ensemble. Qui aurait cru que ce serait sorti là ... devant des flics. Bordel quelle folie. Mais tout ça s'est terminé. Il le sait. C'était un One Shot comme on dit. Il termine cependant : Je reste éloigné d'elle et vice versa. Il n'y a plus de contacts alors que les choses soient claires : foutez lui la paix !Que représentent les forces de l'ordre à vos yeux. Comment peut-on être certains de votre réelle implication dans ce programme ?Je bosse pour mon propre intérêt avant tout chose. Je n'ai rien à cacher là dessus. Et c'est probablement pour cette raison que je ferais mon taf correctement. Je n'ai aucune envie de replonger et un casier blanc est une fameuse carotte. Quand je m'engage dans un business je le fais à fond, je tiens parole et j'avance. Allez sonder vos potes de la mafia. Il vous diront à quel point ILS ont perdu un atout et à quel point VOUS avez gagné un pion dans vos rangs. On a un contrat, on le respecte c'est tout ! Et j'ose espérer que cela va dans les deux sens ... Car croyez bien que mes fesses vont rapidement être mises à prix par l'un ou l'autre. Et ça : hors de question que je crève pour vos belles dents. Concernant le reste, je n'ai aucune haine viscérale contre les forces de l'ordre. La preuve, je suis là. Je respecte ceux qui agissent avec droiture peu importe de quel côté de la barrière ils se trouvent : poulets ou bad guys. Cela dit, je reste perplexe quant au mythe du parfait soldat à l'armure blanche ... Mais bon. Mon avis vaut ce qu'il vaut hein.L'interrogatoire continue, les questions se succèdent, Aaron garde son sang froid, patient. Lorsque vient l'heure du bilan, le psy quitte la pièce. Aaron poireaute une bonne demi heure de plus. Cela devient long, agaçant. Il fait les cent pas dans la pièce vide lorsque soudain la porte s'ouvre à nouveaux. Trois mecs balèzes. Cette fois leurs costumes font honneur à leur fonction. Ils en jettent un max en fait. Mais Aaron ne laisse rien paraître. Impassible. The big boss est là, ainsi que l'avocat du bureau et le chef de l'équipe anti-mafia. Un tas de papier est posé sur la table. C'est enfin arrivé : ce moment de signature. Un stylo en argent lui est tendu. Aaron signe et paraphe. Un badge est posé sur la table. Le sien. Putain ça fait bizarre tout de même. Il se sentirait presque comme un gosse qui joue au cow-boy. Pas de bol, l'enjeu est moins marrant. Tout les mecs se redressent. Droits. Les mains sont serrées. Ca y est l'aventure commence ... La porte se ré-ouvre une dernière fois. Une blonde fait son entrée. De taille moyenne, de long cheveux, un tailleur ajusté et le visage à la fois doux et décidé. Sarah Lancaster, enchantée ! Je pense qu'on va passer quelques temps ensemble .... Sa partenaire. Le jeu est lancé. Aaron la suit et derrière lui la porte se referme enfin. Hello new life ! + POURQUOI ES-TU PLUTÔT AVEC LES MÉCHANTS ? Certains vous diront que c'est par réaction à la famille et ce genre de conneries ... Faux. J'aime ma foutue famille. La vérité c'est que j'ai commencé les petites embrouilles simplement pour me pimenter la vie. Je m'emmerdais, c'était marrant, un peu fou et puisque visiblement j'étais pas trop mauvais, j'ai trouvé comment mettre à profit mon petit cerveau pour me faire de la tune, vivre une vie plus excitante. Après c'est une question d'habitude. Le reste suit tout seul. On est embrigadé, comme drogué. J'ai ça dans la peau que veux-tu ? Le plus offrant est souvent un mec qui fourre ses mains dans de sales affaires ... C'est comme ça un point c'est tout. + DANS QUEL DOMAINE OPÈRES-TU ? Trafic en tout genre et plus encore (drogue, mafia, armes, piraterie, blanchiment, fournisseurs, ...). On ne me surnomme pas le caméléon pour rien : je sais toucher à tout et mes contacts se retrouvent dans tous secteurs. Je bouge sans cesse et brouille les pistes plus rapidement que quiconque. Le seul truc auquel je ne touche pas c'est le trafic d'être humain ! Et ça tout le monde le sait dans le milieu. + POURQUOI ES-TU UN SI BON AGENT DOUBLE ? Ma capacité d'adaptation, ma réputation, ma loyauté reconnue et mon QI. Mes plus belles armes. Je suis un peu à part et j'ai su faire de cette différence un atout. Je suis du genre unique en mon style loin du cliché des gros bras. Ca joue en ma faveur. Ma bouille d'ange m'ouvrent aussi quelques portes sympa. Encore une fois ... on ne m'appelle pas le caméléon pour rien ! + ET QUELS SONT TES POINTS FAIBLES ? Probablement le fait que je sois tenu à ce point au doigt et à l'oeil par ma "team" vu ma situation délicate. C'est loin de m'aider dans ma "liberté de mouvement" si vous voyez ce que je veux dire + PLUTÔT MANIPULATEUR OU MACHIAVÉLIQUE ? Manipulateur et rusé : toujours ... Mon cerveau est mon meilleur ami et bien plus costaud que mon biceps + TON OBJET FÉTICHE ? C'est pas un objet mais ma chienne. Elle ne me quitte jamais ou presque. + PARLE MOI DE TES PENCHANTS AMOUREUX ET DE TA SITUATION ACTUELLE ? J'aime les femmes, vraiment. Mais j'aime autant ma liberté. Actuellement je suis libre comme l'air mais amusé par le challenge que représente ma partenaire ... Cap ou pas cap ?! + ET TON PIRE CAUCHEMAR ? Pourrir en taule !!!! + QUE DIRE DU NOM QUE TU UTILISES POUR TES ESPIONNAGES ? Ben je ne suis pas agent double de vocation, tu vois le genre ... mon cas est un peu à part. Techniquement je ne suis pas sensé faire de connerie et rester bien rangé. Seulement nous savons tous comment je fonctionne : je suis mon propre boss, alors si on vient me chercher et qu'on arrive à me foutre putain de deal sur la table, il y a franchement moyen que je balance des infos. Ca sent l'élargissement d'horizon ça ... non ? Sinon ok, des fois pour me marrer j'aime à me faire surnommer Dexter. Va savoir pourquoi ... fan de la série ... tout aussi bête que ça + QUEL A ÉTÉ TON ESPIONNAGE LE PLUS RÉUSSI ? Probablement celui que je suis potentiellement en train de ne pas faire à l'heure actuelle ... ? Consultant pour le MI6 ça en jette non ? + ET TA PLUS GROSSE DÉFAITE ? Aucune à mon actif pour le moment. Je pourrais te répondre si je repasse par la case prison mais j'espère bien que ce jour ne viendra pas ! + TA PIRE ADDICTION ? bière et whisky behind the screen [justify] PRÉNOM/PSEUDO Ally ÂGE pas encore celui de la raison PRÉSENCE régulière IL EST COMMENT NOTRE FORUM ? CANON MOT DE LA FIN PV ou PI PI
Dernière édition par Aaron Z. Standford le Sam 23 Fév - 17:09, édité 7 fois |
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T. Dylan Stoker ADMINISTRATRICE ⌂ DAUNTLESS - WAITING FOR THE WORLD TO FALL APART (+) parlote : 585 | Sujet: Re: AARON Z. STANFORD || BAD IS THE NEW BLACK (terminée) Sam 23 Fév - 16:24 | |
| t'inquiètes pas grave 8D ben disons qu'on fait suivant l'occupation actuelle. donc s'il travaille au MI6 pour le MI6, ça sera headsets (vu qu'il est pas agent, mais plus personnel du MI6) en revanche, s'il est pas totalement dans l'ambiance du MI6 et si tu veux pas qu'aaron soit tout à fait confiant en tout, tu peux le mettre dans "ace of spades" qui sont plus les agents doubles, et ça impliquerait qu'il reste un peu du côté mauvais, voire carrément faire filtrer des infos dans le camp ennemi. je trouve que ça lui irait plus, étant donné qu'il travaille à son compte. donc j'imagine que si on le paye bien, il pourrait éventuellement faire un agent double non ? enfin je sais pas, dis moi tout! |
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