 |  Sujet: (m) ANDREW SCOTT + the revenge you want will be yours in time. Mer 13 Mar - 19:26 | |
| phinéas kazran salomon. | + METIER homme d'affaires et, surtout, malfrat (et pas le genre qui se salit les mains). AGE quarante ans (il est bien conservé) NATIONALITÉ britannique. AVATAR andrew scott. GROUPE the diamonds. + W E A R E T W I N S un brin sadique + manipulateur + très intelligent (génial, à dire vrai) + psychotique + perfectionniste + misanthrope + arrogant + trop sûr de lui + sardonique + malveillant + très très très ambitieux + retors + fourbe + drôle + propre sur lui + charismatique + charmant + poli + séducteur + provocateur + pédant + n'a toujours cherché qu'à plaire à son père (pour autant, ça ne l'excuse pas hein) + sociopathe sur les bords + paranoïaque + égocentrique + capricieux + déteste perdre + perd rarement + a des hallucinations de son père qui le critique ou le conseille (cf. dexter).
+ B E A U T I F U L L I F E ton père te détestait. Ton crime : exister. La première vie que tu as prise c'est celle de ta mère, à la naissance. Mère que, même s'il était foncièrement mauvais et sardonique - comme tu le deviendras -, ton géniteur aimait. Depuis ce moment-là, tu as toujours cherché à briller à ses yeux. Toujours, quoiqu'il arrive. Tu le suivais partout. Lui formait l'héritier, n'aimait pas le jeune homme, ignorait le fils. Tu t'en fichais. Il n'y avait que ton père, il n'y aura que ton père. Mais un jour, il est mort. Et tu étais seul au monde. Alors tu as repris le flambeau, déculplant la terreur qu'il avait pu inspirer, multipliant les profits, s'enfonçant toujours plus dans les profondeurs abyssales de l'insanité. Même les morts peuvent être fiers, t'es convaincu. Et quand la vie te sera attachée et que tu tomberas dans les limbes, c'est souriant que tu retrouveras ton père. Le contraire n'est pas possible. |
+ AVATAR l'avatar n'est pas du tout négociable, je trouve qu'il correspond parfaitement au personnage (puis moriarty quoi.  ) le pseudo l'est, si ce n'est que le nom de famille, salomon, qui est le surnom qu'il utilise dans sa vie de malfrat.  l'histoire est principalement centrée sur son père mais est aussi négociable, si elle inclut de l'insanité, de la folie et de l'horreur.  le lien, lui, ne l'est évidemment pas. MOT EN PLUS COME AT ME SALOMON SO WE CAN FIIIIIGHT.    
license to kill. Une nouvelle vie. Un nouveau départ. Salomon accompagnait son père, comme toujours. Il regardait cette pauvre famille, ces pauvres enfants, ces pauvre père, débarquer enfin en Angletterre. Il avait dix-huit ans et les méprisait tous, dans un détachement et un cynisme certain, une arrogance qui le faisait les voir d'un oeil noir. Il devait faire ses preuves. Au final, son père l'abandonna, lui fit confiance. Il remit les papiers à la famille, qui parlait à peine un mot d'anglais. De la pitié. Ca coûtait de l'argent, tout ça, cette identité, cette vie. Et ils n'en avaient pas assez. Au fil des années, les nombres augmentent. Deviennent impossibles à rembourser. Salomon se moquent des Joukov, nouvellement Fogg. Ils finirent au bout d'une corde, pendus, endettés jusqu'au cou. Le père meurt. Il sait que les deux enfants, Ludmila et Edwyn auront du mal à payer. Alors il enlève l'une et fait chanter l'autre. C'est très simple. Il lui donne quelques informations de temps à autre sur l'entreprise dans laquelle il travaille et, en échange, la soeur reste en vie - et la dette chute. Kidnappeur, manipulateur, délicieusement sadique, oui, Salomon l'est. Le seul problème, dans ce chantage, c'est que Edwyn travaille pour le Mi6... quoi que ce n'est pas réellement un problème pour Salomon, plutôt un avantage.
Il le déteste, veut se venger de lui.
Il le méprise, veut le ramener plus bas que terre, le tuer une fois l'entourloupe finie.
Now fight. |
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